if you want to be my lover | lukas

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Je sais ne t’en fais pas … j’en ai très envie.

Je plongeais mes prunelles océan dans les siennes, chocolat.
Certains n'aimaient pas les femmes aux yeux marrons, mais moi, si.
Qu'exprimaient donc ces yeux, aussi magnifiques soient-ils ? Plus que tout les mots que j'ai pu lire dans ma vie...
Sans assurance, elle commença de ses doigts fins à relever mon tee-shirt.
C'était la première fois que je voyais Lizzie si incertaine. Elle avait une assurance naturelle et son hésitation m'avais légerement étonné. J'avais peur que nous fassions les choses contre les règles.
Elle réussit à me retirer mon haut, fixant mon torse avec un sourire.
Doucement, je passais mes mains son son chemisier, mais son visage devint sans expression, paniqué.

Je suis désolé … je peux pas.

Rapidement, elle rejoigna la salle d'eau, fermant la porte derrière elle.
Qu'avais-je fais ?
Comment avais-je pu accepter d'essayer coucher avec elle alors qu'il était clair qu'elle n'était pas prète.
J'attendis quelques minutes, assis sur le lit, la tête entre les mains.
J'essayais de respecter sa volonté, la laissant seule pour se retrouver.
Par la suite, je me levais et m'appuyais contre la porte.

-N'ai pas peur Lizzie, je ne t'en veux pas. Je t'aime et on prendra le temps qu'il faut. Je ne m'en irais pas tout de suite, non, je tiens trop à toi pour cela. Maintenant sors, je me sans tellement coupable, j'ai besoin de voir ton visage pour aller mieux.
S'il te plais, pardonne moi, j'aurais dû refuser, je sais que tu es encore fragile ma chérie, et que tu as peur, que tu ne penses pas mériter d'être ici, mais quoi qu'il arrive, je serais là au près de toi. Tu mérite d'être ici, tu mérite qu'on t'aime, tu mérite tout ce qu'il y a de mieux.
Je t'aime Lizzie Brennan, alors, je n'en supplie, sors de cette salle de bain que je puisse croiser ton regard chocolat et embrasser tes lèvres parfaites...

[HS: Vraiment désolée, c'est nullissime :S]

Invité

N'ai pas peur Lizzie, je ne t'en veux pas. Je t'aime et on prendra le temps qu'il faut. Je ne m'en irais pas tout de suite, non, je tiens trop à toi pour cela. Maintenant sors, je me sans tellement coupable, j'ai besoin de voir ton visage pour aller mieux. S'il te plaît, pardonne moi, j'aurais dû refuser, je sais que tu es encore fragile ma chérie, et que tu as peur, que tu ne penses pas mériter d'être ici, mais quoi qu'il arrive, je serais là au près de toi. Tu mérite d'être ici, tu mérite qu'on t'aime, tu mérite tout ce qu'il y a de mieux. Je t'aime Lizzie Brennan, alors, je n'en supplie, sors de cette salle de bain que je puisse croiser ton regard chocolat et embrasser tes lèvres parfaites...

Je regardais mon reflet dans le miroir, c’était affreux, je me sentais affreuse, totalement affreuse et cette cicatrice me rappelait son visage, cette femme qui avait tout donné pour moi. Je me regarder, je ne bougeais pas comme si j’étais incapable de faire un pas, mais j’écoutais ses paroles, elles me touchèrent, j’en avais presque envie de pleurer. Je soufflais avant d’ouvrir la porte, sans remettre mon top, laissant ma poitrine et cette cicatrice, je restais face a lui ne bougeant pas d’un cil =

- Voila, je me déteste d’avoir sa, je me déteste de lui avoir volé sa vie et je déteste être sa.

Je me plongeais dans ses bras, pleurant à chaude larmes contre lui.

- Je t’aime moi aussi, énormément je t’aime même plus que ce que je n’aurais pu l’imaginer mais j’ai peur de te décevoir, peur de ne pas être celle qu’il te faut, peur que tu te lasse de moi et que comme tout le monde tu t’en va à ma folie.

Je redressais mon regard sur lui, ma plus grand peur était sans doute de le perdre un jour, j’avais déjà perdu tant de gens à cause de cette folie

- Embrasse moi …

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Elle sortit de la salle d'eau sans avoir remit son haut et je pus observer sa poitrine généreuse ainsi que sa blessure qu'elle trouvait honteuse. Enfaite, je trouvais que cette cicatrice n'était pas si voyante...

- Voila, je me déteste d’avoir sa, je me déteste de lui avoir volé sa vie et je déteste être sa.

Je tremblais légerement à l'entente de ces paroles. Je refutais l'idée que Lizzie se sente si coupable. Elle me serra contre elle et le l'encerclait de mes bras, lui prouvant ma présence. Ses pleurs ne diminuèrent pas et elle continua:

- Je t’aime moi aussi, énormément je t’aime même plus que ce que je n’aurais pu l’imaginer mais j’ai peur de te décevoir, peur de ne pas être celle qu’il te faut, peur que tu te lasse de moi et que comme tout le monde tu t’en va à ma folie.

Elle leva le menton vers moi, me regardant peureusement.

- Embrasse moi …

J'obeïs et plonga avec délection vers ses lèvres, liant les miennes et lui montrant que je ne la quitterais pas de sitôt...
Quand nous coupâmes le baiser, je remontais son menton vers mon visage et essuyait les larmes de son visages du revers de la main, comme une caresse.

- Regarde moi et écoute moi Lizzie Brennan. Je t'aime. Aussi stupide et évident que peut paraître ce mot. Et même si tu avais cinq pieds et deux têtes, ça ne compterait pas. Je t'aime pour ce que tu es. Tout ce que tu es. Même ta légère folie, comme tu l'appelle, ce que je ne définirais pas ainsi mais, c'est tout ton toi que j'aime. Je sais que tes problèmes partiront avec le temps et je t'aiderais à oublier toute cette douleur. Je suis là. Et pour longtemps, je te le promets. Alors cesse de pleurer. Pour moi. Ferme les yeux. Ne pense plus à ce qui se passe autour. Vois nous sur une jolie Ile, sur le sable d'une plage à l'eau turquoise. Nous et simplement nous. Plus de problème. Plus de malheurs. Je t'aime Lizzie. Et rien ne pourra changer ça. Maintenant, embrasse moi. C'est tout ce que je demande.

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- Regarde moi et écoute moi Lizzie Brennan. Je t'aime. Aussi stupide et évident que peut paraître ce mot. Et même si tu avais cinq pieds et deux têtes, ça ne compterait pas. Je t'aime pour ce que tu es. Tout ce que tu es. Même ta légère folie, comme tu l'appelle, ce que je ne définirais pas ainsi mais, c'est tout ton toi que j'aime. Je sais que tes problèmes partiront avec le temps et je t'aiderais à oublier toute cette douleur. Je suis là. Et pour longtemps, je te le promets. Alors cesse de pleurer. Pour moi. Ferme les yeux. Ne pense plus à ce qui se passe autour. Vois nous sur une jolie Ile, sur le sable d'une plage à l'eau turquoise. Nous et simplement nous. Plus de problème. Plus de malheurs. Je t'aime Lizzie. Et rien ne pourra changer ça. Maintenant, embrasse moi. C'est tout ce que je demande.

Elle lui souria tant bien que mal, elle était touché par ses paroles et par sa douceur. Lizzie approcha ses lévres dés siennes et l'embrassa passionnement. C'étais si bon, ce qu'elle attendait depuis un moment.

- Tu es à croquer Lukas et moi aussi je t'aime.

Elle était étrangement sur d'elle, elle qui pourtan doutée de tant de chose. Ele avait envie de lui, d'être auprés de lui. Pour la première fois depuis un bon moment, Lizzie n’avait nullement peur d’être amoureuse, au contraire ce sentiment la remplissait de joie, elle n’était pas encore sur de l’être totalement mais ces sentiments envers Lukas étaient plus fort qu’un simple sentiment d’amour basique, plus le temps passait plus elle l’aimer, sa douceur, sa force, et sa tendresse. Au début, elle avait peur, peur de souffrir, de se tromper et de voir qu’il ne voudrait pas d’elle, mais depuis un mois, elle était sienne, ce n’était pas un jeu comme elle l’avait cru, une vrai relation c’était installer entre eux, et elle adorer sa. Lizzie était devenue plus forte, plus douce, et plus belle qu’elle ne aurait pu l’être. Lukas occupé ses pensées, très souvent, se rappelant ce soir ou elle l’avait rencontré. Lizzie passa ses mains autour de lui.

- Et si on reprennait ?

Lizzie l'attirat contre elle, prés de son lit, sur et désireuse de lui.

Invité

Un doux sourire remplaça la mine triste de Lizzie, à mon plus grand plaisir. Elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un léger baiser sur ma bouche.

- Tu es à croquer Lukas et moi aussi je t'aime.

Et sans savoir ce qu'il se passait dans la tête de ma chérie, elle partit en tenant fermement mon poignée, la démarche joyeuse et heureuse. Je suivais ce petit bout de femme, intrigué avant qu'elle s'installe sur son lit. Je m'asseyais auprès d'elle et elle s'installa à califourchon sur mes genoux, passant ses mains son mon tee-shirt, pour une fois sur d'elle et décidée.
Elle m'embrassa doucement et ajouta:

- Et si on reprenait ?

Elle me poussa pour que je m'allonge de tout mon long sur le lit et je plongeais mon regard azur dans le sien, chocolat. Je déposais un baiser sur le bout de son nez avant de sourire. Nous nous deshabillâmes et elle posa son corps contre le mien. Avait-elle idée de l'effet qu'elle produisait sur moi ?!
Je sentais son coeur fragile battre à tout rompre. Je posais une main sur sa joue, caressant sa pomette avec douceur avant d'ajouter une chose qui me semblait importante. Peut être stupide, mais importante...

-N'oublie pas de respirer.

Et c'est ainsi que nous plongeâmes dans ce pan tenu, mais parfait, de notre éternité...

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Lizzie est une jeune fille très naturel et très jolie. Elle est loin d’être superficielle. Elle est souvent qualifié de Jolie par les autres. Elle a de magnifiques cheveux châtain clairs, qu’elle a hérités de sa mère surement. De nature lisse, elle les a bouclées quand l’envie lui prend. Elle n’a jamais fait de mèches car elle aime ses cheveux tels qu’ils sont. Ses yeux sont d’un très beau marron, légèrement noisette. De petits yeux qui marquent l’attention de certaines personnes. Elle ne porte jamais de lentilles afin de changer la couleur mais elle met de fine lunettes noires légèrement rectangulaires quand elle lit. La jeune fille a une bouche très fine, légèrement rosé, ni trop grande ou trop petite. Elle applique de temps en temps un baume légèrement rosette afin de les faires ressortir. Elle mesure 1m70, autant dire qu’elle n’est pas très grande mais elle se convient comme elle est. Tout comme sa mère d’ailleurs qui elle aussi était plutôt petite. Elle ressemble beaucoup à sa mère étant jeune et en est très fière ! Kate ne c’est jamais trouvé belle, ou même attirante mais avec Lukas tout semblait tellement différent
Je refusais de coucher avec Lukas pour coucher, à mes yeux l’acte en lui-même était le reflet de l’amour, d’un sentiment et d’un désir. Il y avait deux choses essentiel à mes yeux, c’était tout d’abord une chose à ne pas prendre à la légère, j’avais vraiment attendu d’être prête à passer ce cap, elle avait voulu être sur d’elle, sur de la personne qui l’accompagnerais, je voyais sa comme un moment magique à partager avec quelqu’un qu’on aimait réellement.. J’étais trop Lizzie pour sa, la seconde était la protection, valeur sur, car elle le savait elle n’était pas encore prête pour un enfant, les souvenirs du discours de sa mère sur la naissance, maman disait toujours que ma naissance avait était le plus beau moment de sa vie. C’était en plein moi de juillet, le soleil brillait intensément dans sa ferme, entouré de l'homme qu'elle aimait plus que tout au monde. La journée ne pouvait pas mieux se passait m'avait elle dit, et pourtant son rayon de soleil c'était agrandit, elle parlait toujours de la maternité, comme d'un réel bonheur, quelques choses de totalement magique, un peu comme un rêve a la cendrillon. Je percevais sa moi aussi comme telle, petite je jouais souvent à la maman avec mes petits chatons, c'était bien sur stupide mais agréable. Juste sentir leur présence et leur petite mine quand je leur souriais. Bien sur ce n'était pas comme un enfant mais j'espérais un jour pouvoir offrir sa, un enfant, une preuve d'amour mais aussi une sorte de petite chose que je pourrais laisser dans ce monde. Bien sur je n'étais pas encore prête je me sentais trop jeune, débutant dans la vie, ne sachant pas réellement de quoi demain serait fait, et surtout je n'avais pas trouvé l'homme qui pourrait m'accompagner à chaque seconde de mon existence. Mais je ne le cherchais pas j'attendais simplement qu'il approche. Je ne connaissais rien à l'amour et encore moins au grand amour, ne sachant même pas ce que c'était, jamais tomber amoureuse, jamais. Et amoureuse je l’étais mais un enfant pas encore.
Une heure passa, je ne bougeais pas, dormant à moitiée contre lui, son corps contre moi, je deposais ma main sue son tose avant de me blottir contre lui, cachant ma cicatrice avec la couverture.

Invité

Les feuilles mortes, la boue & la pluie torrencielle s'amassaient sur ses chaussures.
Dans la pénombre de la forêt, elle marchait sans but précis, sachant pertinament qu'elle ne retrouverait jamais son chemin.
Etait cela qu'elle désirait ? Sa mort ?
Peut être...
Elle était tellement mystérieuse, ne montrant jamais ses sentiments, que rare furent les personnes qui cernaient la jeune fille.
Fatiguée, elle s'appuya contre un arbre, couvert de mousse verdâtre. Une feuille tomba sur ses cheveux blonds trempés. Elle ne prit même pas la peine de la retirer.
On aurait pu, au lycée, la considérer comme l'une des filles des plus populaires. Certains la surnomait Queen Mysterious.
L'avantage à être enviée des autres étaient qu'ils n'osaient jamais contester les choix, quelqu'ils soient, de la jeune femme. Et bien évidemment, elle pouvait sortir avec qui elle voulait.
Elle se remémorait tout cela, puis leva ses grands yeux verts au ciel. Elle observa le ciel noirci par la nuit qui venait de tomber et les nombreux nuages.
Enfant, elle s'amusait à décrire les nuages, cherchant à quoi il ressemblait.
En serrant ses bras autour de son ventre, elle sourit à la pensée de cela.
L'espace d'un instant, elle pria pour qu'il n'y est pas de foudre.
Mais elle se ravisa.
Fallait mieux mourir d'un phénomène naturel que deceder par un manque absolu de nourriture !
Du haut de ses 1 mètre 69, elle se glissa le long de l'arbre, coinçant ses fesses entre les racines.
Lorsqu'elle était avec ses prétendus amis, elle devait constament se tenir bien, faire attention à son apparence... C'était là un inconvéniant de la popularité.
Mais pour une fois, elle ne se préoccupait pas de l'état de son jean. Elle avait déjà salie tout se vêtements, alors plus rien n'importait.
Elle ferma les yeux quelques secondes, puis s'endormit, sa respiration devint plus régulière, se mêlant au souffle du vent. La douce brise réussit tout de même à glacer la demoiselle.
Malgré cela, elle ressemblait à un ange, avec ses cheveux de blé. La perfection du moment qui se déroulait était tel que l'on eu cru un texte portant sur la description d'un être divin.
Son visage fin, ovale, encadré par les boucles légèrent que formaient ses cheveux et ses yeux en amandes, d'un bleu pur, faisait penser à une pierre précieuse, une variante du Saphir. Sa bouche, pulpeuse et en forme de coeur, était legerement entrouverte et son petit nez aquilin aurait pu faire rêver n'importe quel mannequin.
Après avoir dormit relativement longtemps, épuisée de tristesse et de sa marche jusqu'à son point d'arrêt, la petite reine ouvrit les yeux lentement, éblouit par la lumière de la lune qui ce soir là, fut pleine.Elle était à demi cachée par un vilain nuage noir. Quelques étoiles se montraient à l'horison, laissant rêveuse la fille.
C'était bel et bien le froid et la foudre qui l'avait reveiller, cela n'était pas du fruit de son imagination.
Essayant de remonter sa température corporel, la jeune femme se frota les mains contre les joues. Mais rien n'y faisait, la belle était toujours frigorifiée.
Quand soudain, la foudre s'abbatit sur l'arbre où elle s'était posée.
Un courant electrique parcourut ce dernier, électrifiant la jeune demoiselle. Elle tomba sur le côté et s'évanouit sur le coup.
La chance était avec elle, car cela aurait dût être mortel !
C'est alors qu'elle fut transportée dans un paradis blanc, tout de drapés clairs, de rideaux beige, de tissus imprégnés de pureté.
C'en était presque magique.
Tout en regardant autour d'elle, elle chercha où elle avait bien pu attérir.
Sans qu'elle ne sache d'où, lentement, quelques personnes pénétrairent dans la salle.
Elle reconnut chaques visages: Son grand père, au visage fatigué, les pommettes creusés à force de rire et aux rides démultipliées, disparu depuis 5 ans; son chien, un Yorkshire pur race, grand et beau, mort il y avait de cela 2 ans.
Puis son oncle qui s'était suicidé le mois dernier, rongé par le chagrin de la perte de sa bien aimée, sa tante, également présente dans l'étrange endroit. Elle avait été terrassée par un cancer du sein.
Bissarement, la personne qu'elle souhaitait le plus voir ne se montrait pas.
Elle entendu un rire moqueur, qu'elle aurait reconnu entre mille.
Elle leva la tête et vit son visage qu'elle aimait tant.
Il avait toujours le même sourire malicieux, qui faisait craquer toutes les filles, elle en première.
Il était assis sur l'un des nuages du plafond, tel un dieu américain. Il était vraiment beau.
Sautant de son perchoir, il retomba sur ses pieds miraculeusement, pliant légerement les genoux, seremettant droit, il fixa les yeux de la blonde, scrutant l'océan marin qu'offrait la couleur de ses prunelles.
Regard intense que lui rendit la demoiselle, observant le bleu des yeux du garçon.
Le sourire du jeune homme s'aggrandissa, puis, il avança d'un pas, d'un autre, traversant le corps de la blondinette sans aucun effort.
Elle se retourna, cherchant du regard la personne qu'avait bien pu rejoindre son petit ami en courrant.
La traitresse était une fille bien trop importante à Sarah: Sa meilleure amie, Jenny.
Ils s'embrassairent passionnément, détrusant le pauvre coeur de Sarah en miettes. Ils l'avaient déchirée, brûlée, pillée, volée, hachée la jeune fille. Elle voulait retirer son coeur de la poitrine, c'était trop dure à supporter. Tombant à terre, les larmes coulèrent d'elles mêmes. C'était plus fort qu'elle. Mais elle avait compris que, même si elle pouvait tout voir, eux ne pouvaient la remarquer car elle leurs étaient invisible, un fantôme parmis les morts.
Sarah remonta ses jambes contre son ventre comme elle le pouvait, pleurant à chaudes larmes salés, deversant un flôt de douleur trop longtemps enfouit.
Dès lors que les deux amants s'étaient serrés l'un coutre l'autre, les souvenirs de Sarah remontèrent à la surface. Elle avait préféré tout oublier, se creant son monde personnel où elle ne se souvenait que de son physique car elle avait trop mal pour que cela soit supportable. Mais ce voyage dans l'au-delà, car cette apparition temporel ne pouvait qu'etre cela, l'avait aidée à y voir plus clair.
Un second coup de foudre frappa contre l'arbre, ce qui ramèna Sarah à la réalité.
Elle posa les mains sur son ventre, prète à accomplir sa vengeance.
Sa tête tournait, mais tétu comme elle était, elle se releva puis marcha un peu.
Elle pleura encore un peu, et sentit un violent coup dans le ventre.

Je me reveillais en sursaut de ce cauchemard. Je savais parfaitement ce qu'était ce rêve étrange, mais, rien qu'en regardant la jeune fille à côté de moi, cette idée disparu.
Ma Lizzie, ma chérie, ma petite amie...Elle était auprès de moi et elle m'avait comblé de bonheur. Cette fille était fabuleuse. Pleine de talent et de surprise. J'étais vraiment amoureux d'elle.

-Lizzie ? Tu es reveillée ?

Invité

Je refusais de coucher avec un homme pour coucher, à mes yeux l’acte en lui-même était le reflet de l’amour, d’un sentiment et d’un désir. Il y avait deux choses essentiel à mes yeux, c’était tout d’abord une chose à ne pas prendre à la légère, j’avais vraiment attendu d’être prête à passer ce cap, elle avait voulu être sur d’elle, sur de la personne qui l’accompagnerais, je voyais sa comme un moment magique à partager avec quelqu’un qu’on aimait réellement. J’étais trop Lizzie pour sa, la seconde était la protection, valeur sur, car elle le savait elle n’était pas encore prête pour un enfant, les souvenirs du discours de sa mère sur la naissance, maman disait toujours que ma naissance avait était le plus beau moment de sa vie. C’était en plein moi de juillet, le soleil brillait intensément dans sa ferme, entouré de l'homme qu'elle aimait plus que tout au monde. La journée ne pouvait pas mieux se passait m'avait elle dit, et pourtant son rayon de soleil c'était agrandit, elle parlait toujours de la maternité, comme d'un réel bonheur, quelques choses de totalement magique, un peu comme un rêve a la cendrillon. Je percevais sa moi aussi comme telle, petite je jouais souvent à la maman avec mes petits chatons, c'était bien sur stupide mais agréable. Juste sentir leur présence et leur petite mine quand je leur souriais. Bien sur ce n'était pas comme un enfant mais j'espérais un jour pouvoir offrir sa, un enfant, une preuve d'amour mais aussi une sorte de petite chose que je pourrais laisser dans ce monde. Bien sur je n'étais pas encore prête je me sentais trop jeune, débutant dans la vie, ne sachant pas réellement de quoi demain serait fait, et surtout je n'avais pas trouvé l'homme qui pourrait m'accompagner à chaque seconde de mon existence. Mais je ne le cherchais pas j'attendais simplement qu'il approche. Désormais Lizzie faisait ce qu’elle voulait, quand elle voulait.

- Lizzie ? Tu es réveillée ?
« - Hum … Oui chérie qui à t’il ?

Je fixais son regard, me retournant vers ses bras, ce moment fut sans aucun doute le meilleure de ma vie. C’était étrange mais j’en étais amoureuse, et pourtant cela faisait moins de 24 heures. Je remontais mon drap pour cacher cette cicatrice affreuse.

« - Tu a l’air stress chéri … sa ne va pas ?