Le soleil brillait intensement sur le camp. C'était l'une de ces journée ou tout semblait parfait dés le reveil. J'étais rentré tard hier soir, la soirée a m'amuser avait durer plus longtemps que prévu, mais ce fut un réel plaisir, j'adorais chanter c'était un vrai plaisir, quelques choses dont je ne pouvais me passer. Je me reveillais le sourire aux lévres, etendant tout mes membres dans mon lit, les rayons du soleil traversaient mes volets ; je fus prise d'une soudaine envie de rire, de m'eveiller dans une bonne humeur. C'était nouveau, je detestais me lever le matin, c'était vraiment une sensation horrible, de s'ouvrir au monde pour aller travailler même avec le meilleur metier du monde entier mais ce matin c'était différent la joie guettait mon visage, il rayonné. Je sautais sur mes deux jambes, ouvrant la fênetre et laissant le soleil penetré dans la pièce, c'était agréable. Dans ma chambre, il y avais ce piano, on me l'avait offert à moi petite Lizzie débarquant de sa ville. C'était un cadeau de papa. Je jouais de bonne humeur.

« I'd like to say
I make good use my time
White you've been away
And it's true
I've been at my piano everyday
Thinking of you »

Je me sentais tellement heureuse, comme si toute la bonté du monde c'était poser sur moi. J'avais tout ce qu'une fille puisse rever, la musique au centre de ma vie, des amies merveilleux mais il me manquait quelques choses maman. Je sortis de chez moi habillé d'un jeans cigarette noir, un top blanc accompagné d'un bustier noir. Je fonçais, je souriais et danser comme une gamine dans les allées du camp. Le soleil brillait toujours, j'avais une soudaine envie de tranquillité et de calme. J'avançais en direction de la forêt, me calant contre un arbre tranquillement sous les rayons du soleil. Dans une soudaine pensée lointaine un corps, une sihouette me sortir de mes rêves.

- Lukas dit elle d'une voix douce et mélodieuse. Me tiendrais-tu compagnie ?

La musique, au delà donc son espace culturel, elle représentait quelques choses de réel, un art, La musique est un art, celui de la Muse dans la mythologie grecque. Elle est donc à la fois une création (une œuvre d'art), une représentation, et aussi un mode de communication. Elle utilise certaines règles ou systèmes de composition, des plus simples aux plus complexes (les notes de musique, les gammes, etc.). Elle peut utiliser des objets divers, le corps, la voix, mais aussi des instruments de musique conçus spécialement. La musique est l'art consistant à arranger et ordonner sons et silences au cours du temps : le rythme est le support de cette combinaison dans le temps, la hauteur celle de la combinaison dans les fréquences, etc. Dans certains cas, l'intrusion de l'aléatoire a cependant dénié tout caractère volontaire à la composition. La musique est évanescente : elle n'existe que dans l'instant de sa perception qui doit en reconstituer son "unité" dans la durée. Elle avait prit une place dans ma vie, quelques chose qui n’était pas descriptible, je ne pouvais expliquer ce besoin de chanter, d’exprimer les choses qui ne pouvait être dite à vive voix, c’était ma liberté depuis toujours. Elle m’avait de temps en temps fait du mal sans le vouloir bien sur, mais je l’aimais simplement. Composer, écrire, chanter, rire, danser, aimer c’était sa, une passion, un rêve, un besoin, une envie, un désir et un plaisir.
Ce fut une soirée des plus géniales, pendant un moment, une chanson je n’avais pensé à rien d’autre que la musique, j’avais oublié, ma douleur, mes larmes, et la haine envers moi-même
La nature était si calme douce et reposante, j’y trouvais une réel harmonie. Je fus vite troublée par sa présence ; je l’avais repérer hier soir dans la foule, grand, athlétique, plutôt mignon. Je l'inviterà me rejoindre.

- Alors comme ça, tu connais mon prénom ?
- Hum tu connais toi aussi le mien non ?

Je lui affichais un sourire tendis qu'il s'assit à coté de moi.

- Enfaite je t'ai vu hier soir et on m'a dit qui tu était ...

Il avait ce coté assez parfait et étrangement attirant et pourtant je n’arrivais pas à savoir ce que je devais penser de lui au bout d’un regard. Il me semblait mystérieux et étrange tout comme passionnant. Les filles avaient remarqué ma manière de la regarder mais cependant je n’avais jamais acquiescée. Lizzie était assez mystérieuse comme fille, elle avait souffert énormément et elle souffrirait surement encore pour un bon moment, tant qu’elle ne comprendrait pas le comment du pourquoi. Ne me laisse pas maman, je t'en pris. Je me rends compte que chaque jour qui passe n'on aucun intérêt sans toi maman, j'essaye vraiment de comprendre mais pourquoi tu as fait sa ? Je voulais te dire que j'étais fière d'avoir été au moins un jour, ta fille, je voulais te dire une dernière fois que je t'aime maman et que je t'aimerais à jamais; ce geste je ne l'oublierais jamais, tu m’as offert ton cœur, tu es sans aucun doute la meilleure des mères et mon amour pour toi est inconditionnelle. Je sais que je suis faible mais j'ai juste besoin de toi, juste besoin de ta présence, c'est la seule chose qui compte réellement. Maman je t'aime plus que n'importe qui et à jamais, et sa personne ne pourra changer sa. Je vivais d’une certaines manière.
Je lui affichais un jolie sourire, sincère, ces derniers temps le sourire n’était pas ma priorité mais étrangement il fut naturel cette fois ci.

- Alors si tu me connais, c'est le plus important. Je t'ai trouvé sublime hier. C'est comme cela que j'ai découvert ton prénom
- Merci c'est gentil.

Je rougisais legerement, en tan normal les compliments ne me fasait pas cette effet mis la tout semblait différents. Une seconde passa ; je sortis de mon sac une boite de médicament, j'en avalais deux comme à chaque fois, dés qu'il touchait ma gorge j'avais l'impression de la revoir si vivante.

- Excuse moi un instant.

Je reculais, soufflais quelques instant, j'étais faibl, vraiment faible et seule face. Je pleurais simplement

Cela m’avait longtemps semblait être une évidence, la mort, je m’étais faite à cette histoire, au fait de mourir sans pouvoir connaitre cette sensation de bonheur. Mais depuis mes quatorze ans, l’idée était faite, et je tentais au mieux de l’accepter. J’allais mourir, d’une maladie de cœur, demain, dans deux jours, dans deux mois ou dans deux ans, j’avais vécu un moment sans savoir comment cela allait arriver, jusqu'à ce jour, je l’avais vu, la mort, proche, me touchant C'était une belle matinée d'été, alors que je pensais la vie douce et belle. 14 ans, je n'avais que 14 ans quand j'appris que j'étais attend d'une maladie grave, cardiaque, Il était malheureusement trop tard pour s'en débarrasser à l'aide de médicaments. À 16 ans, Je fus victime d'une attaque. Hospitalisée d'urgence, je devais bénéficier d'un don d'organe. La transfusion se passa très bien, seulement, au réveil, le désespoir s'emprise de moi j'appris que c'était ma mère son donneur... et que celle ci était donc décédée, j'étais seul, son cœur dans ma poitrine.
Ca me semblait tellement insurmontable =

- Ca va aller ? Tu veux me raconter ? Ou c'est moi qui a fais quelque chose de mal ?
- Non ne t'en fais pas c'est moi.

Je me laissais aller dans ces bras pendant plusieurs minutes, je restais la sans bouger jusqu'a ce que nous fimes ensemble assit contre l'arbre, je ne bougeais pas de son entreinte. Restant contre lui je parlais =

- A 14 ans on ma decouvert une maladie de coeur assez grave, c'était simple vivre ou mourir, j'étais jeune et je ne savais pas tout. Mais je me faisais à l'idée, une greffe pouvait m'aider mais sa aller au mieux que je pouvais. L'année de mes 16 ans j'ai fait une grosse crise et j'ai vu ma vie défiler, j'allais mourir et pourtant je suis la devant toi , ne t'en fais pas je suis pas un fantôme. Ce jour la la personne que j'aimais le plus à donner sa vie pour moi ... Le coeur de maman bat dans ma pointrine et je ne le merite pas. C'est sa tout les médicaments, mais pleurs et saute d'humeur, elle est morte pour moi

C'était fataliste mais tellement vrai.

Bien sur que tu mérites d'être ici Lizzie ! C'est sa preuve d'amour, son don de la vie ! Elle ne voudrais pas que tu gache ta vie à te rabacher que tu ne vaux rien ! Rien que ton extraordinaire voix le prouve. Tu n'es peut être pas parfaite, mais ta mère savait que tu allais vivre des choses formidables, rencontrer des personnes fantastiques et peut être, devenir chanteuse accomplie. Tu es un magnifique jeune fille. Garde le meilleure et vis pour ta mère. Bats toi ! Que son sacrifice ne soit pas vain. Je sais que ce sera dure, tu as perdu ton issus, le seul remede à tes blessures mais reste là, et si il te faut une personne à qui t'accrocher, je suis là. Ne l'oublie pas.

C'est mots me touchérent au plus profond de moi, je tentais de comprendre ces paroles, ce n'étais pas simple, il avait ce quelques choses dans les yeux qui me rassura. Mon être entier tenté d'oublier ma douleur, ma peur et ma souffrance. J'avais longtemps eu ce sentiment de culpabiliter comme si j'étais coupable. Je ne pouvais pas comprendre qu'elle soit morte pour moi.

- Merci d'être la. Elle me manque tu sais énormement et je ne veux pas qu'elle me voit comme cette fille faible, je veux juste qu'elle soit fière de sa petite fille mais j'ai peur d'être seule et de ne pas y arriver.

Je lui affichais un léger sourire tentant d'être convaincante, malgré mes larmes. Un bref moment passa, mes yeux étaient devenu un peu plus sec, ils retrouvaient leur petit eclat. J'avais pendant une seconde peur ... peur ... d'être amoureuse au premier regard.

- Je ...

J'approchais doucement, déposant ma main sur son visage, mes lévres prés de lui, jusqu'a c que je comble l'ecart de nos deux corps en l'embrassant tendrement. Je le savais c'était bien plus qu'un simple baiser.

William Shakespeare à écrit : « L’amour n’est pas l’amour s’il fane lorsqu’il se trouve que son objet s’éloigne. Quand la vie devient dure, quand les choses changent, seul le vrai amour reste inchangé. » Au fond, l’amour qu’est-ce que cela signifie-t-il vraiment ?! .. Voir deux personnes ensemble qui ce sourit et s’embrasser à longueur de temps ?! .. Pas vraiment non, cette amour là il n’est que à durée déterminé, il ce terminera forcement un jour, et ce jour là les deux n’en souffriront pas ils ne s’aimaient pas comme l’amour le veut et c’est cela qui fait qu’on peut remarquer qu’ils ne s’aimaient pas comme le veut le mot « amour » ! L’amour est un sentiment envers un être ou une chose qui pousse les personnes qui le ressentent à adopter un comportement, plus ou moins rationnel, les entraînant principalement à rechercher une proximité pouvant être tendre, physique, passionnée, intellectuelle, spirituelle, voire imaginaire, vis-à-vis de l'objet de cet amour. C’est tellement simple, l’amour, tellement possible, l’amour, a qui l’entend regarde autour a qui le veut vraiment. Cette chanson le bouleversée, l’amour qui vaut la peine, d’être vécu, chercher, sera nous le chemin. L’envie d’aimer, l’envie d’être prés de celui qui faisait battre votre cœur. Celui qui vous donne l’envie d’aimer, d’être heureux, de vivre, de redevenir ou de devenir un rayon de soleil. Tellement possible l’amour, tellement fragile, oui notre histoire, avec lui ou elle. C’était de la magie et du l’amour mais l’exprimer en public semblait si impossible. Mais au fond cette chanson disait vrai, l’amour je ne parle pas du sentiment futile qui existe au cinéma mais du vrai amour ; celui qui donne un sens à votre vie et une raison d’exister. Celui qui vous donne l’envie d’aimer, elle était là celui qui était tellement fort, tellement tout, mon tout. Il l’avait attendu et l’avait enfin trouvé. Il voulait que se soit nous pas lui et elle mais nous. Un couple qui puisse vivre son amour au grand jour, au fond que peut importe l’opinion des autres, peut importe qu’il trouve sa nul de voir une jeune femme trop franche avec un homme trop playboy mais désormais je m'en fichais, pendant une seconde j'avais trouvé ce que je cherchais depuis toujours. Sa ne veux pas dire que tout sera simple mais que si l'amour était présent les armes seraient sauvées. Je sentis sa presence et je souriais, l'embrassais tendrement; il me le rendit, il prolongea ce baiser posant ses mains pour moi et il ajouta deux mots, huit lettres, mon cœur ne fit qu’un bon, je fus au paradis, comme si je plongeais dans un océan de douceur, mon visage s’illuminer, mes yeux brillait et mon sourire respirait la joie … Il alligna quelques mots que j'aurais été incapable de repeter avant de le regarder dans les yeux =

- Ca c'est du baiser !
- Pas mal du tout.

Cela signifiait plutot mais tu a vu l'effet que tu a sur moi.

Sa m’avait semblé magique pendant un moment, c’était incroyable la sensation qu’il avait sur moi. Je l'embrassais tendrement; il me le rendit, il prolongea ce baiser posant ses mains pour moi et il ajouta deux mots, huit lettres, mon cœur ne fit qu’un bon, je fus au paradis, comme si je plongeais dans un océan de douceur, mon visage s’illuminer, mes yeux brillait et mon sourire respirait la joie … Il aligna quelques mots que j'aurais été incapable de répétera avant de le regarder dans les yeux. Il avait un regard fantastique, attachant et j’en étais dingue. Je n’aurais pu décoller mes yeux de lui, son regard pénétra le mien et j’eu l’impression de me plonger dans un rêve, je senti mes jambes tremblaient, cette sensation était à la fois géniale et stressante =

- Hum...Ca signifiait quoi pour toi le baiser ?
- Si tu me demandais si je me fichais de toi la réponse serait non, Si tu me demandais si tu me plait je te dirais totalement et Si tu me demandais de sortir avec toi ... Je dirais oui.

Je lui affichais un sourire.
Pendant un moment je le regarder simplement lui comme si le monde n'existais plus.
Je me redressais passant mes mains sur mon jeans pour enlever la petite poussière.
Il se leva ensuite et je passais mes mains dans les siennes

- Je te poserais bien la même question mais je crois connaître la réponse.

J'avais l'impression, de savoir mais j'avais peut être tord enfaite.
Mais j'avais cette impression de pouvoir toucher les étoiles.
Je ne savais pas ou j'irais, comment j'irais maisune chose serait sur je le voulais à mes cotés.

Je sentis sa presence et je souriais, avant de me retourner et de l'embrassais tendrement; il me le rendit, il prolongea ce baiser posant ses mains pour moi et il ajouta deux mots, huit lettres, mon cœur ne fit qu’un bon, je fus au paradis, comme si je plongeais dans un océan de douceur, mon visage s’illuminer, mes yeux brillait et mon sourire respirait la joie … « je t’aime », c’était pourtant simple mais je l’attendais depuis si longtemps, il était là, dans mes bras. Sans lâcher son regard je pris ma force et tentais de rester concentré quelques secondes =

- Je ne me ficha pas de toi non plus. Tu fais plus que me plaire. Je ne sais pas, tu m'attire, comme un aimant... Non pas que je te compare à un aimant, tu es bien plus intellingente et plus doué qu'un aimant ! Enfin, je me perds... Et Je veux sortir avec toi Lizzie, mais je pense que tu l'avais compris quand j'ai renouvelé ton baiser.
- Et moi je te veux toi, depuis ce soir ou tu a posé ton regard sur moi. Je sais que je peux parraitre folle mais je suis prête à t'aimer pour un moment.

J'approchais l'embrassant moi aussi. Passant mes main autour de son coup, appuyé contre l'arbre plus rien n'avait d'importance =

- Je t'aime.

- Je veux bien marcher un peu ... nous partiremes ensembles main dans la mains. Que dire sur moi, je dois dire que tu sais pas mal de chose deja, tu sais je n'ai pas dit ça pour que tu es pitiée de moi mais appart ma meilleure amie personne ne le sait ici et ce n'est pas une chose simple à garder. Mais tu la vu toi même, elle me manque terriblement. Hormis sa, j'ai beaucoup voyager, ma mère etait portugaise et papa est américain, j'adore sa voyager, j'ai vécu un an demi à Paris c'est une ville tellement merveilleuse, je crois même que c'est ma ville prefere. Mon plus grand rêve c'est de trouver l'amour, mais maintenant qu'il est réaliser je crois que j'ai envie de recommencer à vivre doucement et surtout la musique;

je parlais pendant plusieurs minutes

- et toi qui est tu lukas warrens ?

Moi ? Malgré ce que certains disent, ma vie ne fut pas un rêve. Je suis un jeune garçon né de l'union de Dan Warren et Déborah Johnson. Mon père Dan, est un célèbre guitariste, très en vue durant un long moment. Il rencontra l'actrice Deborah Johnson et après un amour tumultueux, vint l'enfant. Dan, prêt à prendre ses responsabilités et se maria avec Deb. 9 mois après arriva un joli petit bébé du nom de Lukas. Pourquoi Lukas ? Parce que Deb avait fait du latin et la racine latine de Lukas voulait dire Lumière. Si ce n’est pas magnifique ! Ainsi, je naquis en fin d'après-midi dans un hôpital de Miami, ma ville natale. Dès le début, je fus mis en lumière par la presse et la télévision. Mon enfance est celle d'un enfant adulé par le monde entier. Je tourne dès ses cinq ans dans quelques téléfilms, mais rien de très intéressant. Le cinéma m'intéresse, mais je préfère aller jouer au Basket avec ses amis. Dès lors, une passion commence. Mais on se joue de, et on m'emmène dans le tournant de la drogue à partir de mes quatorze ans. Ayant des parents trop absents, on ne remarqua pas immédiatement ma débâcle. Mais mes parents ne sont pas non plus très dupe, et ils comprirent rapidement quel chemin j'avais pris. Centre de détoxication obligatoire. Tout ça, bien évidemment, caché aux médias. Imaginez ce que cela aurait fait à l'image des parents parfaits ? Une véritable catastrophe. De plus que Deb venait de finir de tourner son nouveau film et était en pleine tournée mondial pour promouvoir son film ! Marketing, quand tu nous tiens ! J'étais un peu énervé quand j'entendu ces paroles sortant de la bouche de son père. Il ne se souciait pas de moi, mais des journaux ! N'est-ce pas aberrant ? Mais j'étais bien résolu à arrêter l'herbe et à devenir acteur et pourquoi pas Basketteur Professionnel ! Voilà la super vie de Lukas, qui se transforma en vrai bonheur dès que la jolie fille qui se tient devant lui fut amoureuse de lui.

Je tentais de sourire, il n’avait pas eu une vie des plus simples et pendant une seconde je repensais à certains rêves que j’aurais pu avoir un jour, enfant comme beaucoup d’enfant. Etre l’enfant d’une star, désormais je comprenais que ce n’étais pas du tout simple, il avait une vie aussi compliqué que celle de ces parents et je eu de la peine, j’aurais sans doute aimé être son amie à l’époque dans l’espoir de pouvoir l’aider, j’avais personnellement eu la chance d’avoir ma meilleure amie depuis mon opération, elle était un réel soutient, quelques choses d’essentiel, une sorte de bouffée d’être frais. Je l’aimais totalement. Ma meilleure amie. Je fus cependant touche par sa force de caractère, à sa place j’aurais craqué je le savais. Cependant je tentais de le regarder tendrement et amoureusement. Je me stoppais un instant passant mes mains autour de sa taille, il me serra contre lui ; je me glissais dans ces bras un moment sa déclaration m’avais touché au plus profond de mon être.

-Je suis sur que sa n’a pas étais simple j’aurais aimé être la pour toi à l’époque.
C’était un peu tendu, je me doutais que ce n’était pas forcement simple de parler de tout ça.

-Tu pense que je peux gagner combien en appelant la presse ? Demandais-je bien sur ironiquement. Je plaisante ne t’en fais pas. Tu peux avoir confiance en moi chéri.

Sur ceux je déposais mes lèvres sur les siennes doucement avant de reculer d’un pas et tout s’enchaina très vite, je trébuchais sur un caillou l’entrainant avec moi. Allongé dans l’herbe verte je me plongeais dans ces yeux

-Tu as de beau yeux tu sais.

Cela me semblait tellement étrange, aimer m’étais étrange, je n’avais pas eu une vie amoureuse des plus glorieuse, le seul petit ami que j’avais eu était partie avec un pompon girl plus jolie au lycée. Me laissant petite Lizzie dans la tristesse, et avec une amie perdu. Ma confiance envers la gente masculine était difficile à regagner mais avec lui j’avait l’impression de pouvoir franchir des sommets. Sur ceux je déposais mes lèvres sur les siennes doucement avant de reculer d’un pas et tout s’enchaina très vite, je trébuchais sur un caillou l’entrainant avec moi. Allongé dans l’herbe verte je me plongeais dans ces yeux, il était tellement parfait, je rêver et je l’aimais plus que n’importe qui sur cette terre. Et une part de moi était terrifier par le fait d’être totalement et éperdument amoureuse.

Parallèlement. Je suis certain que c'était plus dure pour toi, Chérie.
- Je sais pas trop mais je suis heureuse à ce moment précis.

Je l’embrassais totalement et amoureuse, ce moment fut parfait, je le complimenter sur ces yeux et il enchaina, laissant mes joues devenir rouges.

Je préfère les tiens. Je suis un gourmand invétéré et tes yeux me font penser a du chocolats fondu.

Pendant un moment plus rien n’avait d’importance, la vie était belle et sans nuage. J’avais cette étrange sensation de plénitude totale, comme si rien ne pouvait venir gâcher ce moment entre lui et moi. Il déposa ses lèvres sur les miennes, me laissant vivre un moment de rêve. Qui aurait cru qu’une journée puisse tout changer. C’était sans doute sa le but réel de l’existence, être heureuse, amoureuse, trouver quelques de bien.

- And i will always love you…. Dit elle de sa voix douce et mélodieuse.

Elle n'avait jamais était aussi sincère avec quelqu'un, c'était sa ce bonheur qu'elle attendait ... que j'attendais depuis toujours.

Savez-vous que vous embrasser divinement bien Mademoiselle Brennan ?
J’hochais la tête, Pendant un moment plus rien n’avait d’importance, la vie était belle et sans nuage. J’avais cette étrange sensation de plénitude totale, comme si rien ne pouvait venir gâcher ce moment entre lui et moi. Il déposa ses lèvres sur les miennes, me laissant vivre un moment de rêve. Qui aurait cru qu’une journée puisse tout changer. C’était sans doute sa le but réel de l’existence, être heureuse, amoureuse, trouver quelques de bien, et je l’avais cette personne. J’étais si sereine dans ses bras, je l’aimais simplement. Au bout d’un petit moment lui et moi étions débout; marchant en direction du camp. Le vent soufflait légèrement et je me sentais un peu stupide de ce que j’allais dire

Dit sa te dirais qu’on aille ailleurs je veux dire dans un endroit plus intime ?

Cela ressemblait à ce que cela ressemblait et je me sentis totalement idiote mes relations sexuelles étaient limités pour la bonne raison que j’avais peur de montrer cette cicatrice devant quelqu’un mais avec lui je m’en sentais capable. Il accepta et je me sentis de suite moi stupide. Nous marchâmes jusqu’à ma chambre, impeccablement ranger, une immense armoire se trouvait en face d’un lit de couleur blanc. Mes colocataires semblaient être parti ce qui se confirma après un petit mot de leur part me disant ou ils étaient. Une douce atmosphère régnait. Il se trouvait derrière moi, j’approchais passant mes mains autour de lui, pour l’embrasser. C’est le début … de quelque chose.

Je t’aime, sa peut paraitre bête après le temps de temps ensemble mais je t’aime Lukas Warren.

L’amour ce sentiment me remplissait totalement aujourd’hui. Ma chambre me ressemblait en tout point, elle était de couleur pâle, jolie mais sobre. Mon lit était de couleur blanc, représentant la pureté. Sur la table de chevet il y avait un livre et deux trois DVD; une photo de ma mère qui m’étais essentiel, cher et précieuse. J’avais ma guitare, précieux instrument essentiel à mon bien être, tout n’était pas parfait, j’avais bien sur quelques vêtements sur le sol mais rien de bien méchant. Une douce atmosphère régnait. Il se trouvait derrière moi, j’approchais passant mes mains autour de lui, pour l’embrasser. C’est le début … de quelque chose. Chez les espèces utilisant la reproduction sexuée, on appelle attirance sexuelle (ou sex-appeal) chez l'humain, l'attirance vers d'autres membres de la même espèce pour des activités sexuelles et/ou érotiques. Ce type d'attirance est souvent important pour la survie de l'espèce ; tandis que chez de nombreuses d'espèces elle ne sert qu'à un but de reproduction immédiat, chez les humains on la considère également comme un caractère social. Je m’apprêtais à franchir sa avec lui.

J’avais déjà fait l’amour avec un homme mais avec lui sa me semblait beaucoup plus important, surtout que depuis mon opération je n’avais pas recoucher avec un homme. Il était très doux, je l’embrassais tendrement, me serrant contre lui =

Tu es sûre de vouloir faire ça Lizzie ? Je ne te force pas, tu sais ?
Je sais ne t’en fais pas … j’en ai très envie.

C’était la pure vérité. Je le désirais totalement, son corps comme son cœur. J’en étais amoureuse vraiment amoureuse. Je passais mes mains à chaque extrémité de son tee shirt avant de lui retirer doucement. Il avait un corps parfait … il glissa ses mains sous mon tee shirt pour me l’enlever et je paniquée. Je le vis partir suite à la vue de ma cicatrice et cela me fit totalement peur, mon visage perdu son sourire, je me redressais =

Je suis désolé … je peux pas.

Je sortis du lit, allant dans la salle de bain. La porte à demi fermée; j’ôtais mon tee shirt, regardant la cicatrice au niveau de mon cœur, j’en avais honte.