Un bip strident réveilla Lily en sursaut. *Oh Mon dieu? Quel heure est-il? ON est en retard?*
Lily regarda le vieu réveille et se calma. Sans perdre un instant de plus, Lily se rua dans la salle de bain et commença ses préparatifs selon la liste précise qu'elle s'était répétée durant tout le voyage pour arriver dans cette minuscule chambre d'hotel. Et oui tout le monde n'habite pas tout à coté ... Bref : Douche, habillage, coiffage, lissage, maquillage,boucledoreillage ...ect Il fallait qu'elle focalise son esprit sur quelque chose ! Une fois prète, la jeune fille s'observa dans le miroir.
A toi de jouer maintenant ! N'y pensse plus et Souri ! se dit t-elle à voix basse pour se rassurer. C'était les premiers mots qu'elle disait depuis loingtemps. Mais ils n'étaient guèrent convainquant.
Les adieux avec ses parents furent rapide et ...silencieu. Lily arriva enfin, seul, devant le camp,elle entra et regarda brièvement les lieux.
La personne qui devait être le directeur commença son spitch... tout a fait le genre de spitch que Lily detestait. Elle appris dans quel bungalow elle était et fut un peu deçut quand elle vit qu'elle n'était qu'avec une seul autre personne. La jeune fille regarda autour d'elle et esseya d'imaginer de quel mal souffrait les autres. Par exemple, pourquoi se rongeait t-elle les ongles? Et pourquoi cette aute fille la fixait avec insistance?
*Elle est gonflée celle là ! On lui a jamais appris qui fallait pas r'garder les gens comme ça?* Lily decida alors de l'a fixer elle aussi. Et c'est alors qu'elle l'a reconnu.

La matinée était étrangement sombre, une grise pale et salasse s’étendait dans les cieux offrant une image tiré d’un film d’horreur. Une grosse brume blanchâtre couvrait quand a elle le sol. C’était frustrant et effrayant. J’eu la sensation d’être perdu, comme si le soleil n’allait jamais revenir. Sur le rebord de ma fenêtre je regardais l’horizon du moins le peu que je puisse voir. La brume couvrait tellement le sol que je voyais à quelques mètres à peine. Je plissais mon regard, fermant légèrement mes yeux dans l’espoir de voir des détails plus net mais rien la brume prenait toute la beauté de la vue qui s’offrait de mon balcon. Pourtant cette ville était plutôt habituée au soleil, rarement les rayons du soleil disparaissaient mais ce matin cela semblait différent. Je sentais déjà que quelques choses allaient changer mais j’ignorais encore la nature de ce changement. Je restais la sans bouger comme si je ne pouvais pas, comme si mes deux pieds étaient collés sur le sol blanc de ma chambre. Avérait dire je ne savais pas ou aller, j’avais l’impression d’être un peu perdu, mes jambes maigrichonnes tremblait jusqu'à ce que je reprenne conscience, je secouais mon visage, comme pour me dire réveille toi Lizzie, réveille toi. Prenant bien appuie sur mes deux jambes, je m’approchais de mon lit, que je faisais, avec plus de force que d’habitude. J’étais toujours du genre soignée mais la je le fis vite fait. Me dépêchant, allant à une vitesse qui m’étonna moi-même. Je filais directement en direction de la salle de bain, je me plongeais corps et âme sous une bonne douche chaude. Je laissais couler l’eau le long de mon visage, je levant même vers la paume pour profiter des biens faits de cette chaleur qui me détendait totalement. Au bout de quinze minutes, j’attrapais le peignoir blanc qui se tenait à gauche de la douche ; posant mes pieds sur le calage froid, je frissonnais. Glissant mes pieds dans une paire de pantoufles en rose clair. Le miroir flou à cause de la vapeur m’empêcher de voir mon reflet, j’avais l’impression d’être invisible, je passais donc un coup de coude et je laissais apparaitre mon visage, humide et pâle. Je ne mettais jamais considérais comme une jolie fille, simplement j’essaye de me plaire et l’avis des autres m’avaient longtemps était sans intérêt. Quittant la pièce, je rejoignais ma chambre, toujours aussi sombre, elle qui pourtant offrait des teintes clair tel que le blanc et le fusina. Je m’asseyais quelques minutes jambes croisées sur mon lit, pensant à ma vie antérieur au et à ce qui m'amenait ici ; Elle me semblait si lointaine désormais. Reprenant mes esprits, en me secouant le visage j’ouvris l’armoire ou mes vêtements étaient disposés. J’attrapais un pantalon noir accompagné d’un top blanc, basique mais jolie. Décidément je ne me reconnaissais pas ici, cette endroit me frustrer, je ne savais même pas ou aller.

Je sortais de ma voiture, arrivant devant l’école, il était temps de grandir sans doute et de passer à autre chose. Deux sentiments se trouvaient en moi, la colère d’être ici, que mon père m’est forcer à faire sa dans l’espoir de me faire oublier mon malheur, il croyait vraiment que m’envoyer dans cette école me ferait oublier le geste que je considérais « fou », mais bon j’entrais doucement, essayant de repérer un peu visage amical, mais rien. J’avais déposé mes affaires dans ma chambre, regardant mes calcaires enfin plutôt leur nom malgré qu’il semblait sympathique je ne connaissais pas. Une sorte de réunion était prévu, une sorte de bienvenue collectif, je m’y rendais simplement sans grande intérêt pour le moment. Je repensais aux mots de mon père =

mister brennan ■■ cherie tu sait que je fais sa pour ton bien
lizzie brennan ■■ oh arrête tu sais autant que moi je sa ne changera rien à tout sa.
mister brennan ■■ peut etre ou peut être pas mais au moin essaye lizzie
lizzie brennan ■■ oui peut etre. je t'aime papa
mister brennan ■■ je t'aime ma puce.

il avait peut être raison mais je n'en étais pas du tout convaincu. cependant je tenterais rien que pour lui faire plaisir, aprés tout je l'aimais plus que tout au monde. je secouais de nouveau mon visage pour m'enlever l'image de ma mère de ma tête, c'était douloureux et je ne preferais simplement plus y penser. il y avait dejà plusieurs personnes sur qui etait presente, femine en grande partie, il y avait cette jeune fille les cheveux bruns ( rachel ) qui me semblait bien sympathique, j'approchais doucement =

lizzie brennan ■■ bonjour. désole de cette aproche, je viens d'arriver et je connais pas grande monde. je suis lizzie, comment tu t'appelle ?

J’avais cru mourir, cette sensation était horrible, un mélange de peur, de frustration et de peine. Croyant qu’une seule seconde puisse tout changer, j’avais vu toute mon enfance défiler ce jour là, comme si tout était enfin terminer, voir la mort face à soit. Je n’avais pas était forte, j’étais sans doute bien trop jeune. J’avais quatorze ans, je n’étais qu’une gamine dans ce triste monde, je vivais une vie de princesse jusqu'à ce jour là, moi qui avait toujours cru que la vie ressemblé à une sorte de conte de fée à la cendrillon, ou tout finissait bien dans le meilleur des mondes, je n’avais vraiment pas à me plaindre, je vivais dans un riche quartier de Philadelphia, j’étais fille unique et j’avais toujours ce que je souhaité dans la limite du raisonnable, je n’étais pas de ces petites filles pourries gâtées qui prenait les gens de haut et ne prenait pas le temps de remercier même sa famille, au contraire je les aimaient plus que tout au monde, et ils représentaient ce que j’avais de plus cher, je leur devaient tout ce que j’avais et j’étais loin de me doutais que cela allait se révéler encore plus vrai. Ma mère Lucillia, était d’une beauté incroyable, les cheveux d’un brun sauvage et les yeux d’un bleu doux, je lui ressemblais un peu d’ailleurs et j’en étais plus que fière, elle était directrice d’un hôpital, c’était le genre de femme d’une grande bonté, douce et toujours à l’écoute des autres. Mon père quand à lui était pilote de course, un peu plus dur que maman mais cependant c’était mon héros et l’homme que j’aimais plus que n’importe qui sur cette planète. Bref je tentais de rester moi-même avec mes convictions, mes rêves et mes envies, et surtout mes valeurs en tentant aux mieux de faire la fierté de mes parents. C’était lors d’un cour de sport, il appelait sa endurance, le but était simple, courir autour d’un terrain pendant un temps donnée. D’habitude je tenais le coup, je pouvais courir sans être épuisé mais là, je ne sais pour qu’elle raison, je m’écroulais à bout de souffle, n’arrivant même plus à respirer. Je me réveillais à l’hôpital un médecin à mes cotés m’annonçant que j’avais une maladie cardiaque assez grave qui pourrait un jour ou l’autre me couter la vie. J’allais mourir je le savais. Tout se passe assez bien, deux ans passèrent, je commençais même à oublier cette maladie jusqu'à ce qu’elle débarque, je n’avais pas fait d’effort et pourtant elle me sauta au coup, je m’étouffais, je mourais. J’avais vu ma vie défiler comme si rien ne pouvait m’empêcher de mourir. Mes mains tremblées, je transpirais, je mourais à petit feux. Je me rappelais les paroles de maman « je t’aime Lizzie », ce fut ses derniers mots du moins les derniers que je perçue. Je me reveillais quelques jours plus tard, sans vraiment comprendre ce qu’il m’arrivais, je me sentais nauseuse, et changée. Je ne compris qu’après, qu’elle n’était plus la, elle médecin c’était sacriée, elle avait su et compris que la greffe de cœur était ma seule option face à la mort, elle était partie, forte, pour moi, sa fille. Je ne me pardonnerais jamais de lui avoir oté la vie, elle était morte à cause de moi. Quelques jours plus tard, une jeune femme avait rejoint ma chambre, elle me semblait très sympathique, mais elle fut d’une grande aide, elle m’aida à me relever dans cette epreuve et depuis ce jour nous fumes inséparables. J’avais trouvé en cette fille mon soutien, ma meilleure amie.

La voir ici m’apporta de l’espoir, je savais que je ne serais pas seule dans les epreuves à traverser, elle coura vers moi et je la pris littéralement dans mes bras, je l’aimais comme ma sœur, ne lui cachant rien même pas le moindre détails, elle savait tout de moi. J’affichais un sourire avant de lui adresser la parole =

lizzie brennan ■■ salut ma cherie. je suis heureuse que tu soit la. je te present euh ...

j'ignorais enfaite son prénom.

Lorsque ses parents adoptifs avaient parlé à Nate de cette institut dans lequel ils l'avaient inscrit, Emerald Inn, le jeune homme avait d'abord vu ça comme une sorte de punition. On allait l'envoyé avec tous ces jeunes qui avaient vécut des choses horrible et traumatisante. Lui, ce'st vrai qu'il avait vécut quelques épreuves difficile ces derniers temps à cause de tout ce qu'il avait appris sur ses vrais parents et tout ça mais il se sentait bien et ne voyait donc pas l'utilité d'aller passer 3 ans dans cet école...Enfin il essayait plutot de se convaincre que tout allait bien car non au fait rien n'allait comme il le voulait. Il se sentait seul et ne savait pas comment se sortir de cela. Avant il aurait demandé conseil à ses parents, mais maintenant, il n'en n'avait plus. Non, ces personnes qui l'avaient élevé n'étaient plus ses parents ! Elles avaient quand même oser l'acheter ! Oui, oui vous avez bien comprit, Nate avait été vendu par ses parents biologique, endetté, à ce riche couple qui ne pouvait avoir d'enfant. Après avoir appris cela comment voulez vous que le jeune homme se sente bien. Il avait l'impression d'être trahit et n'osant plus faire confiance à qui que se soit. Ses amis ? Et bien on peut pas dire qu'il en avait eu ces derniers temps car à chaque fois qu'une personne lui parlait, il l'envoyait balader directement sans même prendre le temps de l'écouter. Oui, il avait changer et à la réflexion se retrouver dans un endroit comme celui la ne pouvait que lui faire du bien, de plus il allait pouvoir prendre des cours de chant, de comédie et de guitare, toute ces choses qu'il aimait tant.. Alors pourquoi avait-il si peur ? Pourquoi il avait cette boule dans le ventre durant tout le temps que dura le voyage de Los Angeles jusqu'à Emeral Inn? C'était peut être la peur de l'inconnu, après tout il ne savait pas grand chose sur ce lieu ou il allait pourtant passer cette année. Ou peut être qu'il avait peur de devoir affronter de nouveau une foule de personne, tout ces élèves qui dans le fond étaient un peu comme lui. En tout cas une choses était sûr, les débuts allaient être difficile, très difficile même et il allait devoir faire un effort colossale pour s'intégrer aux autres. C'est pas qu'il n'aimait pas être entouré, au contraire même, lorsqu'il vivait à Albuquerque il avait tout une bande d'amis avec laquelle il passait une grande partie de son temps.. Mais depuis qu'il avait quitté cette ville, les choses avaient changé et du jour au lendemain il s'était retrouvé seul appréciant chaque jour un peu plus la solitude qui lui était maintenant devenus indispensable. Est ce qu'il allait pouvoir être tranquille et seul dans ce camps ? Peut être en tout cas il l'espérait.
C'est sur cette dernière pensé que le jeune homme ferma les yeux alors que le taxi continuait de rouler en direction de Emerald Bay. Il fallait qu'il se calme et qu'il essaye d'oublier cette peur qui le rongeait depuis qu'il s'était réveillé ce matin là. Du moment ou il avait ouvert les yeux jusqu'au moment ou il était entré dans cette voiture, le jeune homme n'avait cessé de soupiré et soufflé doucement pour évacuer tout ce stresse et cette peur qui l'envahissait. Ça marchait pas vraiment, mais c'était le seul moyen qu'il avait trouvé pour le moment. Peut être qu'une fois sur place il se sentirait mieux..enfin il l'espérait car lorsqu'il rouvrit les yeux ses yeux il remarqua une affiche qui indiquait que l'institut ne se trouvait plus qu'à quelques mètres. Ce trajet il ne l'avait pas vu passer, pourtant il avait presque duré une heure, mais le jeune homme avait regarder le paysage et était partit dans ses pensées qui l'avait occupé pendant un long moment. Une minute plus tard, le chauffeur du taxi se gara au milieu d'un tas d'autres voitures autour desquels on pouvait voir des jeunes qui seraient leurs parents dans leur bras.. Certains semblaient indifférents à cette séparation mais d'autre pleuraient à chaude larmes. Nate lui avait dit au revoir à ses parents adoptifs juste avant de prendre l'avion qui l'avait déposer d'une une ville proche ou il avait passé la nuit avant de prendre le taxi pour rejoindre l'institut. Cette séparation avait été très brève puisque le jeune homme n'avait adressé qu'un simple "au revoir" à ses deux personnes qu'ils ne savaient plus vraiment comment considéré aujourd'hui. Mais bon si il était venu là c'était pour oublier non ?! Pour oublier tout le mal qu'ils lui avaient fait en lui cachant la vérité pendant toutes ces années. Il fallait donc qu'il arrete de pensé à eux ! Nate sortit de la voiture après avoir payé le chauffeur puis il récupéré ses affaires qui se trouvaient dans le coffre. Il s'agissait simplement d'un sac remplit de vêtement et de quelque babiole et de sa housse de guitare qu'il garda à la main. Le jeune homme resta un moment planté devant l'entrée à regarder autour de lui tous ces jeunes qui se dirigeaient vers l'entrée ; il prit une grand inspiration et fit de même, se retrouvant quelques secondes plus tard au milieu d'un grand hall qui se remplissait petit à petit et ou tout le monde semblait un peu perdu. Il regarda autour de lui, posant son sac par terre et lorsqu'il croisa le regard de quelques personnes, il détourna vite le regard. Cette peur qu'il avait ressentit était toujours présente et il ne savait pas vraiment comme y faire face.. Peut être qu'il devait faire le premier pas et aller parler à quelques personnes. C'est ce qu'il se disait mais il restant pourtant immobile, à quelques pas dans l'entrée, adossé contre un mur, ses sac posé à ses pieds.