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Demi Lovato <3 By Coldly January

NOM :: Wilde PRENOM :: Eva ÂGE :: 16 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE :: Le 20 Août 1993 à Albukerque.

My Life is Complicated. (1)

Your Story ::

Je suis née le 20 Août 1993 à Albuquerke. Mon enfance fut joyeuse, et j'étais entourée et appréciée. Je ne me lancerais pas des fleurs, cette joie ne durera pas. Vous comprendrez, mais laissez moi vous raconter quelques passages de ma vie...

20 Août 1999.
Les guirlandes colorées avivent la pièce. Des gens autour de moi sont tous excités, bougent dans tous les sens, crient, rigolent. Soudain, une mélodie et des gens qui chantent couvre ce bruit presque infernal. J'ai oublié de vous signaler de c'est la joie autour de moi, en effet ! La mélodie se fait entendre de plus en plus. Je distingue six bougies, un énorme gâteau chocolaté. Emerveillée, je fixe le gâteau de me grand sourire d'enfant. Je fais un vœu, celui de devenir une grande chanteuse et actrice. On ne sait jamais, peut être un jour, cela se réalisera... Ma mère s'approche de moi, un paquet assez gros et rectangulaire dans les bras. Elle me le tend avec un grand sourire, je le lui arrache des mains, trop excitée pour faire ceci, disons, doucement. Je déchire rapidement, ouvre la boîte. Avec mes grands yeux ouverts et mon sourire à pleines dents, je distingue une très belle guitare. Depuis le temps, je l'attendais ! J'embrasse ma mère d'un bisou d'enfant joyeux et comblé. Ce n'est pas fini, j'ai encore un tas de présents à découvrir... Un garçon brun s'approche de moi, un petit paquet à la main. C'est Nate, mon meilleur ami. Il me tend ce paquet avec son sourire que j'aime tant. J'ouvre, et sors le petit bracelet argenté. Il est écrit "Always" dessus, et ce bracelet, il est en or blanc. Je savais qu'il était riche... Mais là... de mon langage d'enfant, je lui dis...
« Ces trucs là coutent trop chers Nate t'es un malade.
- Tant que tu sais pas ce que ça veut dire tu parles pas, d'accord?, me dit-il avec son sourire.
- Ben ça veut dire quoi, alors, bredouillais-je.
- Ca veut dire qu'on se séparera jamais et qu'on sera toujours amis.
- C'est vrai ?
- Oui, regarde !, me dit-il et retroussant une manche et me montrant le bracelet identique à son poignet.
- C'est génial Nate merci ! On seras toujours amis alors ?
- Ouais toujours, Eva.
- Promis, juré, craché ?
- Promis, juré, mais pas craché c'est dégoutant ! »
Je ris et le prend dans mes bras. Oui, il est mon meilleur ami et il le sera toujours..

Avril 2005.
Je marchais avec Nate sur le chemin du retour de l'école. D'habitude, nous parlons tout le temps et n'arrêtons pas de nous taquiner. Mais ce jour là, rien. C'était bizarre que Nate n'ait rien à me raconter, et de mon côté, je n'osais pas parler, peur qu'il ne soit pas vraiment là et qu'il ne m'écoute pas... Bizarre pour une amie de longue date, de douter autant de lui ! Mais bon, il était bizarre, j'en étais sure. Lorsqu'on arrivait dans la rue où j'habitais, on s'arrêta, et il prit enfin la parole.
« Eva, j'ai un truc à te dire mais... ne le prend pas mal...
- Je t'écoute, mais ne vient pas me dire que tu t'en vas surtout ! dis-je de mon grand sourire.
- Non... non ce... ce n'est pas ça, dit il après une longue hésitation tandis que je perdis mon sourire.
- J'attends toujours, mais tu me fais peur.
- Laisse tomber, je te le dirais plus tard.
- Tu sais qu'je t'aime toi !
- C'est évident que moi aussi. »
Il me fit un bisou sur le front, et s'en alla, chez lui, la rue suivante, tête baissée. À vrai dire, j'ai assez peur, là, c'est vraiment bizarre. J'ai peur qu'il s'en aille réellement.
Les jours passèrent et il ne me dit rien. Je crois qu'il n'arrivera pas à me le dire... Les vacances d'été commencaient, il me dit simplement qu'il allait partir assez loin. Mais pas quand. J'allais lui rendre visite, il n'y avais personne et la porte était verrouillée. Nate m'avait dis que souvent, la clé était sous le paillasson. Je le soulevai et vit un bout de papier marqué "Eva". Je le lus.
« Eva, je suis désolé. Je n'arrivais pas à te le dire, de peur que ça te fasse trop de mal. Je vais paraître lâche de te le dire ainsi, pas par ma propre voix mais vois tu, me retrouver devant toi pour te dire ça me faisait trop peur. »
Mon coeur se serrait, j'hésitais à lire la suite... Courageuse, je repris ma lecture...
« Je ne reviendrais pas à la fin de ces vacances. Mes parents ne veulent pas rester ici à Albuquerke, et je ne sais pour quelle raison. Je ne sais pas si j'arriverais à prendre contact avec toi... Ne m'en veux pas. Je sais, la promesse qu'on s'était faite quand tu as eu six ans, celle qui disait que je serais toujours là, je suis en train de la briser. Sache que je ne t'oublierais pas si tu n'entends plus parler de moi. Je t'aime réellement, pas de la même façon qu'avant, c'est plus fort. C'est en partie pour ça que je ne voulais pas te le dire en face. Je donnerais tout pour que tu ne m'en veuilles pas, même si je sais que ce sera loin d'être le cas. Au revoir, Nate. »
Abasourdie et déstabilisée, je me laisse tomber sur le perron de la porte de sa maison. Un camion s'arrête justement devant celle ci. Un vieil homme en sort, me regarde.
« Les Elwood ne sont plus là.»
Je ne lui répond pas, je le sais. Le vieux hausse les épaules, surement surpris que je ne lui réponde pas. Il ouvre le coffre de son camion et en sort une grande pancarte inscrite « À Vendre. ». Je ne pus, à ce moment retenir mes larmes. Nate allait me manquer, moi aussi, à l'évidence, je l'aimais comme il m'aimait. Malheureusement ce sera un amour qui ne naîtra jamais. Je lui en veut. Terriblement, et je crois que jamais je ne le lui pardonnerai. Il s'en va comme ça, sans m'adresser un dernier de ses baisers sur le front qu'il avait l'habitude de me faire. Sans me dire ça en face. C'est le coeur lourd que je me relevai et repartais chez moi.

26 Juillet 2005
Voilà trois semaines que Nate est parti. Je me suis faite une raison, et puis, il n'est plus qu'un lâche pour moi. Il n'avait pas le droit de me faire ça. La veille, je me suis disputée avec ma mère à son sujet. Elle disait que Nate n'avait rien à y voir, et qu'il regrettai surement. Moi, je m'en fous, il aurait du faire ça autrement. La dispute est partie sur un autre sujet et puis j'ai été très méchante avec elle en lui disant.
« Tu ne sais rien de ma vie, tu n'as pas le droit de me dire ce que je dois penser. Tu m'énerves et parfois je serais mieux sans toi. »
Jamais je n'aurais du : ça a été le déclenchement de tout. Suite ça, ma mère, effarée par ce que je lui avais dis, me punit. Oui, comme une gamine d'à peine dix ans.
Une semaine après, j'étais toujours punie. Pas de sortie depuis. C'était l'anniversaire d'une de mes amies, mais j'ai du décliner l'invitation à cause de cette stupide punition. Après mûre réflexion, qu'est ce que j'ai à perdre ? J'ouvre alors ma fenêtre et saute. Je pars alors en courant chez mon amie. Quelques heures plus tard, malheureusement, ma mère voulut me souhaiter la bonne nuit, comme d'habitude. Seulement, elle remarqua mon absence malgré les oreillers que j'ai placés sous la couette pour la tromper. C'est dans une rage folle qu'elle se lance à ma recherche. Une heure plus tard, elle débarque chez mon amie. Je ne bronche pas, pour ne pas empirer la situation. En voiture, la tension est à son comble.
« Mais enfin qu'est ce qui t'a pris ! gueula-t-elle.
- C'était l'anniversaire de Mary. Il fallait que j'y aille. répondais-je, décontractée.
- Je te signale que j'ai eu peur, peur que tu aies été enlevée ! Qu'il te soit arrivé quelque chose de grave ! cria-t-elle encore plus fort.
- Tu dramatises, c'est rien.
- Eva ! Tu ne comprend pas que j'aurais pu appeler la police pour rien, que malgré ce que tu m'as dit la dernière fois je t'aime toujours autant ?
- Maman...
- Non, Eva, tu sais que ce soir je me suis fait du mouron pour toi, et que tu es stupide sur ce coup là.
- C'est toi, la stupide de m'avoir punie pour rien.
- Ah bon, tu crois ? me dit elle en me fixant moi, et pas la route. Eh bien si c'est ça, ce n'est même plus la peine de parler sentiments avec toi, ta punition est rallongée pour...
- Maman, attention ! criais-je éblouie par les phares d'une autre voiture...»

1er Août 2005
Je me réveille durement... Soudain j'entends des cris presque joyeux. C'était mon père qui criait à quelqu'un que j'étais réveillée. Je ne comprends pas. Où suis-je ? Regardant faiblement autour, je ne perçois qu'un décor blanc, fade. Un appareil électrique est relié à mon bras. Une perfusion, un fil respiratoire sous mon nez. Je cligne des yeux. Je suis à l'hôpital. Je regarde mon père, en prononçant faiblement le mot « Papa...». Il me regarde, les larmes aux yeux, me serre dans ses bras en prononçant mon nom, comme si j'avais été un cadeau du ciel. Que c'était il passé ? Soudainement, je me rappelais d'une lumière éblouissante, d'un son, un heurt, j'étais dans la voiture avec ma mère... La voiture faisait des tonneaux. Je me rappelle clairement... Je repousse délicatement mon père et le regarde.
« Maman... où est maman ? Elle va bien, au moins... »
Le visage de mon père, qui avant cette phrase exprimait un brin de joie, s'éteignit. Il me regarda, l'air triste...
« Eva, ma petite Eva... Je... ta mère... n'est plus là... elle nous a quittés le soir de l'accident...»
Effarée, je le regarde, mes grands yeux ouverts, le visage comme paralysé... je n'ose plus prononcer un mot... Mais finalement, j'arrive à dire...
« Non... non... c'est pas possible... C'est... c'est de ma faute ! »
Et je m'effondre dans ses bras, la culpabilité montant en moi...
Où était Nate ? C'était à ce moment là que j'avais le plus besoin de lui. Mais il est parti, il m'a laissée là, seule, sans lui, à pleurer ma mère que je ne verrais plus jamais...

27 Juillet 2009.
Me voilà quatre années plus tard, dans le cimetière d'Albuquerke, regardant la tombe de ma mère, le visage fermé. Le visage fermé, je l'ai depuis ce premier Août deux mille cinq, depuis que j'ai appris son décès. Je n'adresse plus la parole à qui que ce soit depuis - sauf de temps en temps mon père - et je n'ai quasiment plus d'amis. Je suis seule. Seule à pleurer, à me rendre encore plus coupable de la mort de ma mère chaque jour qui passe. J'entends une porte voiture claquer derrière moi. Je me retourne et voit mon père. Il s'approche et s'assoit à côté de moi. Quelques minutes comme ça, et il se lève, pose un bouquet. Je me lève à mon tour. D'un geste instinctif, il me prend dans ses bras, m'embrassant le front, et me dit « Allons y. ». Tout en m'éloignant, je regarde la tombe une dernière fois, me disant dans ma tête. « À bientôt Maman.. Tu me manques... Et tout ça c'est de ma faute. »
Nous rentrâmes à la maison. Je m'installais à la table, regardant le courrier. Comme d'habitude, je regarde si il n'y a pas de courrier de Nate. Mais comme je le constate depuis quatre années, toujours rien. Pourquoi est ce que je m'obstine à attendre quelque chose de sa part alors que pour moi, il n'est plus rien ?
Mon père s'installe devant moi, l'air grave. Il ne sait pas comment commencer ce qu'il a à me dire... Je n'ose pas le regarder...
« Eva... euh... J'ai quelque chose à t'annoncer...
- Vas-y, de toute façon, au point où j'en suis...
- Depuis quatre ans tu n'es plus la même... tu ne me parles plus, tu n'es plus la Eva que j'aimais tant, la Eva rayonnante, passionnée...
- Et alors ? C'est quoi le rapport avec ce que tu as à me dire...
- Pour... pour la rentrée je t'ai inscrite dans un endroit où tu seras prise en charge... je veux te revoir comme tu étais a...
- Tu m'envoie dans un hôpital psychiatrique ?! criais-je en me levant presque prête à partir dans ma chambre.
- Non Eva, me coupa-t-il. Ce n'est en aucun cas un hôpital psychiatrique...
- Alors c'est quoi exactement ? demandais-je en me rasseyant.
- C'est une école d'arts de la scène pour les ados comme toi, enfin... ceux qui ont vécu quelque chose de dur... Là bas, ils pensent que la passion de ces ados peut les aider à aller mieux.
- Et tu crois à ces trucs toi ?
- Tu es inscrite, Eva, je ne reculerais pas.
- Tu veux te débarrasser de moi ?
- Ce n'est pas ça, je veux retrouver mon Eva... Celle que tu étais avant cet accident... Je sais que tu me reviendras nouvelle.
- Si tu le dis... je le fais pour toi... Mais... c'est pour combien de temps ?
- Un cycle complet... trois ans..
- Trois ans ! m'écriais-je, c'est trop !
- Tu peux revenir pour les vacances...
- Dans ce cas... dis-je après longue réflexion, j'irais... mais sache que je n'y éprouve aucun plaisir, papa.
- Je sais que ça ira et que tu me remercieras quand tu reviendras... »
Je me levai, et avant que je parte dans ma chambre, mon père me stoppa, il me regarda et me prit dans ses bras en me chuchotant un « Je t'aime. ». En me retirant, j'essayais de lui sourire... Mais ce fut comme si je ne savais plus sourire. Je partis dans ma chambre, penser à tout cela.

Aujourd'hui, me voilà, quelques valises dans ma chambre, prête à partir là bas, dans cet institut nommé Emerald Inn. Je ne sais pas ce qui m'y attend, mais je ne suis pas sure que le fait d'y être y changera quoi que ce soit : j'ai causé la mort de ma mère et ça, rien ne le changera.

My Life is Complicated. (2)

Your Family ::

J'avais une mère, un père, tout ce qu'il fallait dans une famille. J'étais fille unique, j'aurais tout donné pour être grande soeur, mais si mes parents n'ont pas voulu d'autre enfant, je ne vais pas chercher à les persuader. Ma mère est aujourd'hui décédée, par ma faute ! J'ai toujours eu de bons rapports avec elle. Elle était là pour moi, m'a toujours tout donné, encouragé dans tous mes engagements. Aujourd'hui, elle n'est plus là pour ça, et j'ai bien peur d'en avoir perdu mes repères... Avec mon père, c'est presque pareil. Mais parce qu'il est un homme, je n'arrive pas à aborder certains points avec lui. Il est le père qui m'a toujours fait rire, et je l'aime tant. Je suis sure de lui avoir fait du mal ces quatre dernières années en me renfermant...

Your Relations ::

D'une, il y a Nate Elwood. Ce meilleur ami dont j'étais presque amoureuse qui a brusquement disparu de ma vie... Il va refaire surface à Emerald Inn. Ce garçon qui a perdu mon amour et mon amitié, ma confiance, en bref, tout ce que je lui avais donné. Il a disparu de ma vie et je ne vois pas comment tout pourrait rentrer dans l'ordre entre nous. Le revoir me fera surement encore plus de mal, car quand ma mère est décédée, c'était de lui dont j'avais besoin, et il n'était pas là.
Ensuite, je vais rencontrer aussi Calleigh Montoya. Je n'aurais jamais connu une fille pareille et je sens que notre amitié va durer au delà d'Emerald Inn. Cette jeune fille va beaucoup compter à mes yeux et on sera toujours là l'une pour l'autre.
Et puis, il y a Brianna O'Connell, entre elle et moi, ce sera la Guerre avec un grand G. Elle sera une vraie peste, le genre de fille que je ne peux fréquenter, de part de son attitude. Notre talent est surement très grand et la compétition entre elle et moi fera rage... La jalousie aussi !

In my Head.

Your Character ::
Je suis irresponsable et surtout très tête en l'air. Je suis souvent dans mes pensées... Mais cela ne m'empêche pas d'être à l'écoute de ceux qui se confient à moi. J'aime les écouter et les conseiller ! Enfant, j'étais très timide. Mais lorsqu'on m'a poussée sur une scène à l'âge de dix ans, j'ai tout fait pour être à la hauteur et depuis ce jour, ma timidité s'est volatilisée. Je n'ai pas peur de me cacher. Mais si il vous arrive d'être irrespectueux avec moi, je sors vite de mes gonds... Attention alors, croyez moi, j'ai un mauvais caractère ! Néanmoins, je reste gentille et j'ai, d'après mes amis, un grand coeur qui ne demande qu'à donner.

Your Passion ::
Premièrement... Lorsque j'avais cinq ans, ma mère se mit à jouer du piano devant moi. C'est fascinée que je voulus apprendre à en jouer. Elle me l'apprit. Mon père, quant à lui, jouait de la guitare, il décida de m'apprendre. Au départ indifférente à cette instrument, j'en fit ma passion. Ma mère m'offrit ma première guitare pour mes six ans. Guitare que j'ai toujours aujourd'hui, et je ne m'en séparerais pas. Deux années plus tard, mon père m'offrit un piano, à Noël. J'en étais emerveillée, c'était le cadeau que j'attendais le plus. Mais je voulais toujours faire plus : je m'essayai au chant et... je ne m'avouais pas trop mal dans ce domaine. Pendant deux ans j'appris à perfectionner mon chant, à exercer ma voix et à mes dix ans, je montais sur scène, tétanisée. Et finalement, je m'en sortis. A l'âge de douze ans, j'écris ma première chanson, destinée à un certain Nate... chanson décrivant ma version de l'amitié. Aujourd'hui, cela fait onze ans que je suis passionnée pour la musique. Je compose, écrit et adore toujours le piano et la guitare, malgré que je pratique beaucoup moins depuis le décès de ma mère... Mon style musical passe par le rock, la pop, le pop rock, et le blues.
Deuxièmement... Entre temps, je prenais des cours de théâtre en dehors de l'école. Il y a une chose que j'ai sue, c'était que j'étais faite pour ce monde.
Vous l'aurez donc compris, mes passions sont la musique et la comédie. Je ne demandais pas mieux que de devenir une artiste polyvalente !

Am I Beautiful ?

En quelques lignes, si je devais décrire mon physique... Commençons simplement par le basique : je suis petite, j'ai quelques formes que j'accepte, je suis brune aux cheveux longs. Je vais vous confier que j'adore mes cheveux. Vous vous en ficherez surement. Je m'accepte comme je suis et j'aime me mettre en valeur dans mon style vestimentaire. En parlant de style vestimentaire, j'ai mon style, j'aime l'originalité mais je ne veux pas non plus être trop différente. En résumé, j'aime être démarquée et discrète à la fois : ne pas en faire de trop, quoi. J'aime porter les slims qui affinent mes jambes, des hauts simples, pour le style discret. Sinon, je peux aussi mettre des jupes avec des hauts à jolis motifs pour l'originalité. Mais j'aime aussi avoir un bon côté rock'n'roll. C'est ce que je suis !

Behind the computer.

Prénom/Surnom :: Alexyaaa
Exemple de Post ::

Spoiler: