Tolstoî . Lizzie

Invité

Le premier livre qu'avait lu Delilah était un livre de Tolstoi, ce livre lui avait fait comprendre que le coté matériel de la vie n'était que futile, il l'avait bien aidé. En plus de la guitare, elle avait lu ce livre des millions de fois, et le connaissait presque par coeur. La veille même, elle l'avait à nouveau relu, lorsque Lizzie, sa meilleure amie lui avait proposé d'aller à la bibliothèque avec elle, pour qu'elle puisse en découvrir un nouveau. Delilah accepta volontiers, elle ne savait pas que des endroits comme celui ci, avec beaucoup de livre de différents styles ou de différents auteurs pouvaient exister. Elle était toute excitée à l'idée de pouvoir voyager avec un nouveau livre.
En se levant, Delilah remarqua que le soleil ne brillait pas énormément.. Etonnée, elle se précipita vers la fenêtre, et remarqua avec horreur que le temps était très humide, et que de la brume s'était installée dans tout le camp. Le soleil apparaissait à peine derrière les nuages, mais quelques lueurs orangées arrivait à se montrer. Un léger sourire s'afficha tout de même sur son visage, le paysage et les couleurs étaient magnifiques, et elle languissait d'arriver à la bibliothèque !

Au bout de 10min, elle fini par d&coller le nez de la fenêtre, et enfila un short en jean avec un t'-shirt vintage, le t'shirt que Lizzie lui avait offert, tout ça avec une petite paire de ballerine. Elle décida de ne pas s'attacher les cheveux, malgrès l'humidité pesante dans l'air, peut importe si ses cheveux frisés ou non, de toute façon, ils étaient déjà bien ondulés.
En sortant, elle prit soin de laisser un mot aux filles de sa chambre pour leur dire qu'elle reviendrait en fin de journée, et Delilah attrapa une petite veste en sortant.

Le temps s'éclaircissait au fur et à mesure que Delilah avançait dans le camp, elle croisa une de ses amies, et lui adressa un joli sourire avant d'entrer dans le batîment qui s'imposait devant elle. Il était vraiment gigantesque. Une immense porte en bois avec des vitraux lui barrait le passage. Toute la structure de la batisse était en bois, cela donnait un coté chaleureux, et décontracté à l'endroit.
Delilah poussa la porte, et entra à l'intérieur.
Une femme d'âge mûr releva la tête, elle était entourée par un grand bureau en chêne, avec un petit ordinateur posé devant elle. Elle demanda à Delilah si elle était inscrite, et cette dernière lui répondit négativement. La bibliothécaire lui expliqua le fonction de la bibliothèque, et lui fit une carte de membre, elle pouvait venir quand elle voulait, et empreunter des livres.
Delilah prit la carte, et passa par une petite porte sur le coté. Une immense salle s'ouvrit alors, avec plusieurs rangées de grandes étagères remplies d'innombrables livres. Le sourire de Delilah éclaira soudainement son visage,e t elle s'engouffra dans une des allées. Comme par hasard, elle tomba dans un rayon remplis d'oeuvres de Tolstoi. Elle en choisi un, et vit plus loin plusieurs fauteuils de différentes couleurs, comme ceux de la salle de musique.
Elle déposa son sac à terre, et s'installa dans un de ses fauteuils, toujours autant confortable. Son rythme cardiaque s'accéléra lorsqu'elle ouvrit le livre à la première page, et qu'elle lu les premiers mots de cette histoire.

Invité

La nuit était tombée dans son écrin d’été. Le bruit mat des feuilles qui tombent sonnaient à mes oreilles avec une irrégularité agaçante. Le vent soufflait fort ce soir là, et les habitants de la ville étaient très peu nombreux dans les rues faiblement éclairées par les lampadaires. Pourtant, le manque de luminosité n'était pas un problème pour moi; loin de la. J’aimais l’obscurité, elle était calme et douce, le silence était si passible personne ne pouvait me faire changé d’avis dans cette total sérénité. La nuit était encore plus sombre que ses derniers jours, aucune n’étoiles, simplement un ciel d’une couleur noir si forte qu’elle semblait irréel. Le vent soufflait sur les carreaux de ma chambre. Les arbres bougeaient avec une force hallucinante. Mon corps frissonnait, rien que par le simple fait de toucher cette vitre, si fine que si elle n’existait pas ; la sensation serait la même. Ma main droite sur la fenêtre j’avais cette sensation de pouvoir m’envoler ou je le souhaitais. Il était tant de partir dans les bras du marchant de sable, deux heures du matin était écrit en rouge sur le réveille de ma chambre. Avec le plus de délicatesse possible, je me levais prenant appuie sur mes mains, marchant sur mes jambes tremblantes et maigrichonnes. Je me glissais dans mes draps mes draps cherchant le sommeil

La scène était belle, le soleil brillait plus que jamais, c’était un rêve. Mais il semblait si réel. Je me trouvais dans l’école, mais cela semblait familier ce n’était pas la première fois que je rêvais de cela. J’étais vêtu d’une tenue qui ne m’appartenais pas ; un short blanc et un tee shirt rouge ; Mon mère était en ma compagnie, je l’aimais sans doute plus que ma propre vie, il était mien, nous étions inséparables et je ne me voyais désormais plus vivre sans lui. Malheureusement il ne faut que quelques minutes pour que le monde s’écroule ; cette seconde arriva. Le sol se mit à trembler, tellement fort que nous en perdirent le contrôle. Le sol s’écarta en deux parties distinctes laissant de parte d’autre Maman et moi même. Ma famille tomba en premier dans le troue, d’un bruit sourd et creux. Je vivais sa mort une deuxième fois.

▬ Maman non ...

Je criée si fort que la puissance de ma voix m’étonna ; je tremblais et pleurer. Je voyais de
nouveau la mort en face. C’était si terrifiant. Une femme s’approcha de moi ; me ressemblant terriblement. Ma créatrice ; celle à qui je devais tout

▬ Papa aide moi s'il te plait.

Mon père eu un rire sarcastique

▬ Bon voyage en enfer chérie.

Je tombais, sans vraiment comprendre ce qui m’arrivait. J’étais morte, la sensation fut fort étrange, je me sentais libre. Cela semblait si fluide et simple. Mon cœur c’était arrêté. D’un bon rapide et vif je me réveillais, m’asseyant sur mon lit complètement en transe. Ma peau humide et mon cœur qui battait si fort me firent comprendre que ce n’était qu’un cauchemar mais c’était si terrifiant. Je restais sans dire un mot pendant plusieurs minutes, essayant au mieux de respirer. Mon cœur ralentissait doucement ; mais je ne cessais de trembler. J’attrapais la bouteille d’eau qui était à mes cotés et j’avalais plusieurs gorgée avant de passer me rafraichir à la salle de bain. Ouvrant un livre, je lu quelques lignes et m’endormir sur le canapé.

Je fus soudainement réveillée le bruit du réveil, je fis un grand bon dans le fauteuil, me demande ou j'étais et avec qui. Mais personne rien, je reprenais mes esprits, passant ma main dans mes cheveux. De l'air j'avais besoin d'air, j'attrapais directement des vêtements, un jean, un tee shirt et une veste et je sortis. Je marchais plusieurs minutes dans l'ecole sans un grand but précis. Au bout d'un moment l'atmosphere salasse me donna la nosée. Je decidais simplement de rentre dans la bibliotheque; souffler. D'un geste léger je poussais la porte appercevant au loin ma meilleure amie =

- Je peux me joindre à toi chérie ?

Invité

Delilah était totalement absorbée dans son livre. La philosophie de Tolstoî l'intéressait beaucoup, elle aimait beaucoup son point de vue sur les choses de la vie.
Les seules fois où elle levait les yeux du livre, c'était pour observer les différentes personnes aller et venir dans la grande salle. Un jeune homme blond et pas très grand avec des bandes dessinées, une jeune fille rousse avec des lunettes lisait des polars. Et puis les bibliothécaires soufflaient en rangeant les livres mit à la mauvaise place à leur place initiale. C'était une petite fourmilière en quelques sortes..
Delilah lu deux ou trois page de plus lorsque la porte s'ouvrit une nouvelle fois, sans y prêter attention, elle se replongea dans son voyage spirituel et senti une main sur son épaule. Elle sursauta violement.
Ce geste la replongea dans le passé, un passé lointain..

Un jour d'automne, Delilah s'amusait dans un joli parc avec des tobogans rouges et verts, plusieurs balançoires en bois. Les feuilles voletaient un peu partout, et s'emmêlaient quelques fois dans les cheveux des petites filles. Un petit Yorkshire se promenait dans le square, et jouait avec son maître qui lui lançait le bâton le plus loin possible. C'était un homme assez grand, avant un long manteau,e t un chapeau bizarre. Delilah s'amusait avec les autres petite filles, qui avaient inventés un jeu assez drôle, toutes les petites participantes étaient des fées, et une devait garder le temple des fées (alias les tobogans). Delilah s'assit alors sur un petit banc près des activités, elle devait monter la garde. Mais d'un coup, elle senti une main ferme et froide se poser sur son épaule, le Monsieur au Yorkshire. Il lui dit qu'il voulait qu'elle l'accompagne chercher son chien qui s'était échappé. Naïvement, elle accepta. C'est ce jour là que tout commença.

Delilah avait souvent des absences de ce genre, qui la ramenait dans son passé, ce dont elle n'avait pas besoin. Elle suivit la ligne de cette main, puis ce bras, puis ce visage, Lizzie..

Oh, c'est toi..

Elle regarda hasardement sa montre, cela faisait déjà une heure et demie qu'elle était là, et elle avait quasiment terminé son livre.

Tu sais que cela fait une heure trente que je t'attends ?
[b]
Visiblement, Lizzie l'avait oublié, encore une chance qu'elle passait ici par hasard. Delilah lui fit un sourire amusé, elle était tellement prévisible..

Invité

J’avais vu ma vie défiler comme si rien ne pouvait m’empêcher de mourir. Mes mains tremblées, je transpirais, je mourais à petit feux. Je me rappelais les paroles de maman « je t’aime Lizzie », ce fut ses derniers mots du moins les derniers que je perçue. Je me réveillais quelques jours plus tard, sans vraiment comprendre ce qu’il m’arrivais, je me sentais nauséeuse, et changée. Je ne compris qu’après, qu’elle n’était plus la, elle médecin c’était sacrifiée, elle avait su et compris que la greffe de cœur était ma seule option face à la mort, elle était partie, forte, pour moi, sa fille. Je ne me pardonnerais jamais de lui avoir ôté la vie, elle était morte à cause de moi. Quelques jours plus tard, une jeune femme avait rejoint ma chambre, elle me semblait très sympathique, mais elle fut d’une grande aide, elle m’aida à me relever dans cette épreuves et depuis ce jour nous fumes inséparables. J’avais trouvé en cette fille mon soutien, ma meilleure amie.

Depuis ce jour, elle était la premier à tout savoir, elle était mon guide, je me devais d’être la; j’arrivais à la bibliothèques, la découvrant pour la première fois, j’étais en retard une fois de plus et je le savais. J’avais cette capacité à oublier certaines choses et je l’aimais de ne jamais m’en vouloir, je déposais un baiser sur sa joue avant de m’assoir à coté d’elle =

- Je suis tellement désolée … j’ai fais un nouveau cauchemar et j’étais épuisée. Je suis trop désole promis je me rattraperais.

Je laissais quelques secondes échapper, regardant son livre qui ne me semblait guerre passionnant.

- J’ai quelque chose à te dire … Je … je suis amoureuse enfin je crois

Invité

Delilah se mit à rire devant la mine déconfite de sa meilleure amie, elle était si tête en l'air ! Lizzie déposa un léger baiser sur sa joue avant de s'assoir dans le fauteuil qui était juste en face d'elle. Elle s'excusa en expliquant qu'elle avait cauchemardé et qu'elle était très fatigué.

Tu as à nouveau fait un cauchemard ?

Delilah commençait à s'inquiéter, plus le temps passait plus Lizzie faisait des cauchemards, ce qui avait le don de l'épuiser.

Pas besoin de te rattraper tu sais, ce n'est pas si important.

Elle lui fit un joli sourire, et posa le livre qu'elle venait de terminer sur la petite table en bois poli qui était entre les deux fauteuils.
Lizzie avoua ensuite qu'elle avait quelque chose à lui dire.. Delilah retint son souffle et Lizzie lâcha enfin qu'elle était amoureuse, du moins, c'est ce qu'elle pensait.
Une énorme sourire s'installa sur son visage, et la curiosité envahit l'esprit de Delilah.

De qui ? Comment ça s'est passé ? Tu l'as rencontré où ?

Elle prit une respiration avant de se calmer.

Pardon..
Alors, raconte moi ça dans tous les détails !

Delilah s'enfonça dans son fauteuil et passa une de ses jambes sur son accoudoirs, histoire de bien être installé

Invité

Delilah avait cette magie dans ce regard qui me faisait rêver, elle savait comment faire une sorte que j’aille mieux, elle était un soutien si précieux, je savais que sans elle, je ne serais plus la. Mes cauchemars se répétait sans cesse, j’avais l’impression d’être en quelques sortes hantée =

- Je … c’est toujours le même, je suis avec ma mère et il ya ce tremblement de terre affreux et mon père arrive et il me pousse dans le vide et je me réveille totalement en transe, si tu savais ce que sa semble réel c’est totalement terrifiant.

Comme toujours elle était tellement curieuse mais de toute façon j’allais toujours tout lui dire, car c’était tout simplement elle qui savait tout avant tout le monde, pensant à Lukas je souriant idiotemenent et amoureusement.

- Il s’appelle Lukas Warren, tu sais c’est le grand brun qu’on à vu l’autre jour à la soirée chant, il m’a repérer apparemment, et je l’ai vu le lendemain dans la forêt je suis tombé littéralement amoureuse de lui, il a ce truc incroyable à ne pas me juger, il c’est pour … pour … maman et il est très compréhensible. Je l’aime vraiment … tu me donneras ton avis n’est ce pas ?

J’étais heureuse, plus que d’habitude mais moins qu’avant

- Mais … quand on a étaient dans ma chambre pour, j’ai totalement paniquée et je me suis enfermée dans la salle de bain, totalement effrayé à l’idée qu’il voit ma cicatrice. Je me sens si stupide, j’ai tellement honte que je suis une idiote finie.

Invité

Lizzie lui raconta son cauchemard, le même depuis maintenant des années. Le tremblement de terre, son père qui la pousse dans le vide, et le réveil toujours aussi brutal. Delilah lui adressa un sourire désolé. Habituellement, elle était toujours là au réveil de Lizzie quand elle faisait ce cauchemard, mais malheureusement, elle n'"tait plus ensemble le matin, ni le soir avant de s'endormir, ce qui les attristaient beaucoup.
Pendant un moment, Lizzie avait trouvé un remède, une sorte de crème qui la calmait avant de dormir..

Tu n'as plus de cette crème, celle qui marchait très bien là ?

Lizzie secoua la tête pour répondre que non, et elle entama son récit sur Lukas. Delilah se souvenait effectivement de l'avoir croisé à la soirée chant.. Et apparement, il avait repéré Lizzie. Ils s'étaient vus le lendemain dans la forêt, et Lizzie en était tombé littéralement amoureuse.
D'après les souvenirs de Delilah, ce Lukas était effectivement très mignon.

Ben mon premier avis, c'est qu'il est très mignon, après, je ne le connais pas.
Tu me le présenteras hein !

Lizzie continua en précisant que son coté compréhensif l'avait tout de suite mise à l'aise. Ce qui tout à fait normal. Mais elle continua en expliquant que lorsqu'ils étaient tous les deux dans la chambre, elle avait paniqué qu'il voit sa cicatrice, elle avait trouvé le seul moyen de s'enfermer dans la salle de bain. Après ça, Delilah ne put s'empêcher de rire.

AAAAHAAAAHAAHAHHA tu es sérieuse ??

Delilah ne s'arrêtait plus de rire, elle en avait d'ailleurs mal aux zygomatiques, mais elle fut bien obligée de se calmer quand la bibliothécaire vint lui demander de faire moins de bruit, elle s'excusa et s'adressa à Lizzie.

Excuses-moi d'avoir rit, mais..
Tu t'es réellement enfermée dans la salle de bain ?

Elle pouffa à nouveau, mais le regard de la bibliothécaire la rappela à l'ordre. Elle fit no de la tête avant de se rapprocher de Lizzie.

Ce n'est pas toi qui vient de me dire qu'il était compréhensif ? D'autant plus que si il est au courant de tout, pourquoi avoir peur ?

Invité

- Hum j'ai fini un tube en une semaine et trois boites de cachets.

J'avais peur d'être totalement folle ou droguée mais j'avais mal et ces cachets me faisait encore un peu de bien de temps en temps; cependant je depasais la dose de trop. C'était une boite et demi par semaine. Je vis son visage qui allait pratiquement me hurler dessus et je savais qu'elle réagirais de cette façon

- Bien sur tu es ma meilleure amie delilah je te le présenterais forcement, je voit même pas pourquoi tu pose la question, tu es mon evidence ma chérie ...

Mon visage fut attrister par son rire. Je ne le prenais pas spécialemen mal mais j'avais l'air totalement ridicule, je me revoyais dans cette piéce j'étais ridicule

- Je ... ne te moque pas de moi, c'est pas juste je me sens vraiment mal, je savais plus quoi faire mais quand je suis sorti il semblait si gentil t moi je lui ai dit que j'avais peur de ne pas être celle qui lui faut. T'imagine ta meilleure amie est une débile.

Je rougissais et tentait de rester calme

- Et toi dis moi que je me moqueun peu.

Invité

Delilah fit les gros yeux en entendant la tournure du traitement de Lizzie, elle devait trop excessive !

Bon Dieu Lizzie..
As-tu besoin que je revienne dans ta chambre pour m'occuper de toi ?

Elle avait dit ça sur le ton de la rigolade, même si son visage était toujours déformée par la colère, mais était quand même agaçée..
Lizzie annonça ensuite qu'elle lui présenterai forcément Lukas, sachant que c'était sa meilleure amie, c'était quasiment un passage obligé. Delilah lui souria lorsque Lizzie lui dit qu'elle était son évidence. Si elle savait ce qu'elle représentait aussi pour Delilah..

Je langui alors de le rencontrer, je dois lui faire passer une batterie de tests avant de savoir si il te convient ou non !

Delilah lui fit un clin d'oeil, puis Lizzie parut vexée que sa meilleure amie se moque d'lele en imaginant la scène.

Je suis désolée, mais tu m'avais dis qu'il était compréhensif et qu'il svait toute ton histoire, dans ce cas tu n'auras pas dû réagir comme ça, même si c'est légitime !
Et ce n'est aps parce que tu as peur de ne pas être celle qui lui faut, que c'est réellement le cas ! Tue s une fille géniale, tu le sais bien.
A la rigeur, ca serait lui qui ne serait pas à ta hauteur, mais pas l'inverse.

Elle souria, puis Lizzie lui demanda de lui raocnter qu'elle puisse se moquer.

Oh tu sais, il ne s'est aps passé grand chose. Je n'ai aps encontré beaucoup de monde pour le moment..
Et en parlant de ça, tu te souviens que je te parlais souvent d'une Brianna ?

Invité

Lizzie soutenait le regard de son amie, elle avait toujours été d’un conseil bon et sur, elle savait que peut importe la vie elle pourrait compter sur elle. Lizzie se sentait totalement stupide de son comportement mais elle était faite ainsi, Lizzie était une personne douce et tendre, elle manquer cruellement de confiance en elle, elle était totalement jalouse et un peu fade par moment, Que ce soit en amour ou en amitié, Lizzie voit d'un mauvais œil les nouvelles rencontres de ses proches. Très possessive, elle ne tolère pas qu'on entre dans son petit monde pour lui voler ceux qu'elle aime. C'est parfois assez comique car la jalousie est une des seules raisons qui pourrait la pousser à se mettre en colère! Une personne sincère ne pourra jamais lui contester ce trait de caractère. Le courage est une des valeurs morales qui fait toute la force de caractère de Lizzie. Depuis toute petite, elle a appris à se maîtriser, à résister aux déceptions mais surtout à ne jamais baisser les bras. C'est ainsi qu'elle est parvenue jusqu'à Londres et qu'elle a réussi à prouver son talent. Lizzie est habituellement adroite et affectueuse. De nature tactile, elle n'a aucun mal à distribuer des gestes tendres aux gens qui l'entourent. Elle s'énerve rarement, elle est au contraire de nature plutôt calme. Enfin, elle sait parfaitement trouver les mots pour réconforter ses proches. Lizzie a toujours rêvé de parcourir le monde. Petite, elle dévorait les romans d'aventure en quête d'un peu d'action. C'est une fille de la campagne, elle n'a quasiment jamais quitté le domaine de ses parents. Elle rêvait d'évasion, d'histoires romanesques et d'expériences excitantes. A présent, il semblerait qu'elle puisse enfin réaliser un de ses plus grands souhaits

« - Chérie ne réagit pas comme sa s’il te plait, je fais très attention … Parole de scout

Elle affichait un sourire ironique, dans toute sa simplicité, elle connaissait son amie par cœur et la savait inquiète et elle s’en voulait d’être le cause de ses ennuis. Lizzie c’était longtemps dit qu’elle serait beaucoup plus heureuse sans un fardeau comme Lizzie.

« - Je langui alors de le rencontrer, je dois lui faire passer une batterie de tests avant de savoir si il te convient ou non !
Je suis désolée, mais tu m'avais dis qu'il était compréhensif et qu'il savait toute ton histoire, dans ce cas tu n'auras pas dû réagir comme ça, même si c'est légitime !
Et ce n'est pas parce que tu as peur de ne pas être celle qui lui faut, que c'est réellement le cas ! Tue s une fille géniale, tu le sais bien.
A la rigueur, ca serait lui qui ne serait pas à ta hauteur, mais pas l'inverse.
« - Je l’aime sincèrement tu sais, et j’ai besoin de sa présence et de lui, je sais pas comment il fait mais il arrive à trouver les mots quand il le faut.

Elle s’approcha de son amie, tête contre tête, deux filles inséparables au destin lié

« - Oh tu sais, il ne s'est pas passé grand chose. Je n'ai pas rencontré beaucoup de monde pour le moment.
Et en parlant de ça, tu te souviens que je te parlais souvent d'une Brianna ?
« - Sa viendra ma belle, tu es tellement fantastique que ce monde sera vite à tes pieds, comme moi je le suis honey … Oui je m’en souviens pourquoi me parle tu d’elle ?

Invité

La bibliothècaire monta le chauffage, et une vielle odeur de poussière monta au nez de Delilah, une vieille odeur de poussière qui la replongea des années auparavant. Un jour où cet homme qui avait changé sa vie de la pire des façons l'avait attaché à une chaise, le corps complètement momifié dans des couvertures très épaisses. La température de la salle était insoutenable, surtout avec les couvertures, "un petit test de la condition humaine" il disait. Il l'avait enfermé dans une petite salle sombre, où le chauffage n'était jamais allumé car ils n'étaient que deux à être dans l'immense demeure.
Elle se souvient que ce jour là, elle entendait les cris d'une petite fille dans la maison d'à coté, car c'était la seule pièce qui n'avait pas de douche vitrage.
Soudain, la douce voix de sa soeur de coeur la ramena sur le fauteuil où aujourd'hui elle était paisiblement installé.
Lizzie expliqua qu'elle aimait sincèrement Lukas, qu'elle avait besoin de sa présence, et des mots qu'il trouvait si facilement pour la réconforter et la rassurer.
Elle lui souria chaleureusement.

Je suis vraiment heureuse que tu aies trouvé quelqu'un qui puisse te protéger plus que je ne peux le faire.

Lizzie répondit ensuite à sa question, elle se souvenait de Brianna.

Et bien, je l'ai revu, par hasard, c'était un choc ! On est identiques !

Delilah passa sa main dans ses cheveux, elle était encore sous le choc. Elle revoyait cette fille avec exactement le même visage, elle aussi très perturbée par ses retrouvailles. Elle avait enfin revu la fille qu'elle cherchait depuis si longtemps, la fille dont elle hurlait le nom chaque nuit en faisant des cauchemars, tout le monde la prenait pour une folle quand elle en parlait, et là, elle l'avait enfin retrouvée ! Malheureusement, depuis leur rencontre, elle ne s'étaient pas revues. Peut-être que sa soeur avait peur, ou n'avait tour simplement pas envie de la revoir, ce qui était dommage, Delilah, elle, était impatiente.