Citation :

« C'est nous inspirer presque un désir de pécher,
Que montrer tant de soins de nous en empêcher »
— Molière.

Fini les robes noires dénuées de style, fini le couvre-feu, fini les courbettes, fini les politesses et la bien séance ! Bonjour aux boutons, aux chaussettes sales, aux beuveries, aux orgies et aux conneries ! Bonjour la vie étudiante et tout ce qui va avec ! Bienvenue à Hungcalf, l’école supérieure de magie la plus délurée de toute l’Angleterre. Ici commence la vraie vie, entre les murs innombrables de ce somptueux château de Norwich. Nous avons tous entre 17 et 22 ans pour les plus vieux d’entre nous, et les gamineries pour nous, c’est fini ! Maintenant on passe à la vitesse supérieure !

Bienvenue à Hungcalf mon ami ! Après avoir passé sept ans de ta vie à Poudlard à être constamment brimé par le concierge et les profs, te voilà maintenant ici, à faire des études supérieures. Non, ne pleure pas ! Ce n’est pas ce que tu crois… Loin de là. Ici, tu fais ta vie ! Tu n’a pas envie d’aller en cours ? grand bien t’en fasse ! Mais essaye quand même d’avoir une bonne excuse si tu ne veux pas te faire coller plus de trois heures dans les caves, car certains profs sont pas commodes ici. Pour ce qui est de l’ambiance, eh bien… Allons plutôt voir du coté des étudiants…

« Quoi, Hungcalf ? Vous plaisantez ? C’est du grand n’importe quoi ici ! Je me demande bien si ne me suis pas trompée d’école, voyez vous. Tenez, le dernier cours de botanique s’est terminé en bataille de fumier de licorne. Je ne vous raconte pas l’odeur… »
Témoignage d’une première année, Lufkin.

« Mais c’est génial ici ! Je dois bien avouer que j’étais plutôt retissant au début quand mes parents m’ont forcé à continuer mes études, mais je ne le regrette pas du tout aujourd’hui ! Il y a une véritable ambiance de folie ! Je ne me suis jamais autant éclaté. En plus de ça, j’ai réussi à pécho une jolie petite Summerbee, hier soir dans les caves et… Quoi ? Vous ne voulez pas savoir la suite ? Rhooo… »
Témoignage d’un quatrième année, Wright.

« Je ne sais pas si ça se passe comme ça chez les moldus, mais par Merlin ! Les études supérieures, c’est rock’n’roll ! Il faudrait que je me renseigne auprès de ma prof d’études des moldus, tiens… »
Témoignage d’une cinquième année, Summerbee.

Nous n’avons qu’une vie, nom d’un Scrout-a-pétard ! Et c’est ici que vous passerez les meilleures années de votre vie, alors lâchez vous, tous les coups sont permis ! ou presque…

BIENVENUE A HUNGCALF !

contexte & avatar by double-face.
toutes copies entières ou partielles sont interdites.

« Un jour j’irais à New York avec toi. »


© fox

Qui n’a jamais rêvé de Broadway, ses strass, ses paillettes ? Qui n’a jamais eu des étoiles dans les yeux en songeant aux beaux quartiers de l’Upper East Side, sa jet-set, ses restaus, ses bars branchés, ses soirées qui n’en finissent pas ? New York, la ville des nouveaux départs, L’endroit où tout le monde a, un jour, eu envie d’y poser son pied comme sur la lune. Depuis tout gamin, vous n’espérez qu’une chose, pas quelque chose comme la plus grosse glace du monde, ou bien voir le père Noël en chair et en os, quelque chose qui vous fasse vraiment vibrer au plus profond de votre, mais quelque chose pour lequel vous être capable de tout lâcher : venir vivre, ne serait-ce qu’un temps, à New York Ville. Ne serait-ce pas comme vivre un rêve éveillé ? Depuis tout petit, votre entourage ne cesse d’entendre « Un jour, j’irais là bas ! ». Vous ne savez pas comment mais vous irez, ça vous le savez avec la même certitude que un et un font deux.

« Voir si le cœur de la ville bat en toi. »

© fox

Ca y est, on y est ! Après tant d’année à fantasmer sur cette ville, nous voici au cœur de ce bon vieux Manhattan. Le berceau des grandes histoires d’amour, des rêves devenus réalité, des soirées jusqu’au bout de la nuit. Et même si on vit dans un appartement minuscule avec trois colocataires qui pus la sueur et l’alcool, on n’en a rien à faire parce qu’on vit à NEW YORK ! Une nouvelle vie commence, de nouveau choix s’offrent à nous, et on se sent maitre de notre destin. Les jeunes filles d’une vingtaine d’année viennent à Manhattan pour dénicher les deux A : Amour & Article de mode, tandis que les mecs, eux, s’installe à la grande ville pour les deux S : Sexe et Soirée branchée. Mais qu’importe ce que l’on vient chercher ici, on le trouvera à coup sur, New York ne serait pas New York sinon.

Mais il faut prendre garde à ne pas se laisser emporter par ce tourbillon de douceur et surtout veillez à ne pas se faire ensevelir sous les dettes, car tout va vite à Manhattan, et en une minutes, vous découvrirez qu’il tout à fait possible de vider entièrement son compte en banque. C’est la dure réalité de la grande ville qui nous frappe alors. Oui tout est beau, tout est amusant et on a envie de croquer dans tout ce qui passe sous nos yeux mais la terre n’est pas loin et on a vite fait d’y redescendre. Et à partir du moment où vous avez trouver comment vous éclatez tout en gardant de quoi vivre décemment pendant au moins un mois (c’est à dire les milles dollar et quelques pour payer votre part de loyer et la réserve de boite de conserve dans le placard), là, et seulement là, vous devenez un véritable new-yorkais et ça, c’est une autre paire de manche.

« Un jour j’aurais New York au bout des doigts, on y jouera tu verras »

© MissBlackElo & dodixe

Les new-yorkais, ces êtres qui ne se nourrissent que de plats à emporter et de café Starbucks, ceux là même qui ne sont vêtus que de vêtements de marque de la tête aux pieds, des chaussure jusqu’au sac à main, en passant par les bijoux et même le maquillage, branchés à leur téléphone vingt-quatre heure sur vingt-quatre. Tout comme la ville, ils ne dorment jamais. A partir du moment où l’on devient comme eux, on ne peut plus s’en défaire. Il ne nous sera dès lors plus possible de quitter la grande ville plus d’une semaine sans faire de crise d’urticaire. New York est dans les veines du new-yorkais comme le LSD est dans celles des Rolling Stones. Tout endroit autre que Manhattan nous semblera laid et profondément ennuyeux, et l’air de la campagne n’égalera jamais celle qu’on respire à Central Park. Nous serons devenu un de ces Chuck Bass ou Miranda Hobbes, New Yorkais jusqu’au bout des ongles.